
Les manifestants ont également protesté contre le soutien avéré d'Alger au terrorisme international à travers son agression à l'encontre du Mali.
Pendant plus d'une heure d'horloge, les manifestants, qui ont bravé la grande canicule, ont scandé des slogans hostiles à l'Algérie. Ils ont aussi exprimé leur fierté et soutien aux Forces armées maliennes ainsi que les autorités de la Confédération des États du Sahel (AES). Ainsi l'on pouvait lire sur des pancartes : « Algérie pays terroriste », « vives les Forces armées de l'AES » ou encore « l'Algérie ne peut rien face à l'AES ».
Cette manifestation plus ou moins spontanée, fait suite à la dégradation des relations entre Bamako et Alger après la revendication de la destruction d'un drone des FAMa par le ministère algérien de la Défense. Cet incident, qui s'est déroulé dans la nuit du 31 mars au 1er avril dernier à Tinzawatène dans la Région de Kidal, a provoqué une grande consternation des autorités maliennes et au-delà des frontières nationales. Ainsi, l'acte inamical et inadmissible a suscité une vague de condamnations des autorités et des forces vives des trois pays de l'espace confédéral.
A cette suite, conformément au traité de la Confédération, les trois pays de l'AES ont rappelé leurs ambassadeurs de l'Algérie pour consultation. Depuis lundi 07 avril, le Mali a fermé son espace aérien à tous vols civils ou militaires en partance ou à destination de l'Algérie. Cela, en réciprocité à l'interdiction du survol du territoire algérien prise par le régime d'Alger contre le Mali, le même jour.
Cette manifestation populaire témoigne d'une part du dégré de ras-le-bol généralisé de nos compatriotes contre l'ingérence algérienne dans les affaires intérieures du Mali, mais surtout de leur ferme attachement à la souveraineté nationale qui est le cheval de bataille des autorités de la Transition.
Aboubacar TRAORE
À l’appel de plusieurs organisations de la société civile qui dénoncent l’agression de l’Algérie contre les Forces armées maliennes (FAMa), la jeunesse malienne a pris d’assaut le Centre international de conférences de Bamako (CICB) le samedi 12 avril. C’était à la faveur d’un m.
Le chef de la Transition gabonaise, Général Brice Oligui Nguema, a remporté l'élection présidentielle du samedi 12 avril 2025 avec 90,35 % des voix. Les résultats provisoires ont été publiés ce dimanche 13 avril à la Télévision nationale par le ministère de l'Intérieur du pays..
A l'appel de plusieurs organisations de la société civile, pour dénoncer l'agression de l'Algérie contre les Forces armées maliennes (FAMa), la jeunesse malienne a pris d'assaut le Centre international de conférences de Bamako (CICB) ce samedi 12 avril 2025. C'était à la faveur d'un meeting.
Les huit membres de l’organe ont prêté serment devant la Cour suprême le jeudi 13 mars 2025. C’est le Pr Alkadri Diarra qui en est le président.
Le Mali compte aujourd’hui près de 300 partis politiques. Certains sont bien implantés dans le pays. D’autres, par contre, n’existent que de nom. Faut-il dissoudre tous ces partis (grands et petits) pour ensuite limiter leur nombre conformément aux recommandations des Assises nationales de .
Suite à la destruction d’un drone des Forces armées et de sécurité maliennes par l’armée algérienne sur le territoire malien, dans la nuit du 31 mars au 1er avril 2025, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, a convoqué, hier, l’ambass.