Il a été identifié comme M.S âgé de 42 ans. Après son interpellation par le commissaire divisionnaire, Yaya Coulibaly et son adjoint le commissaire Abdoul Aziz Traoré, son dossier a été transmis au parquet du Tribunal de Ségou pour qu’il réponde de ses actes. Selon nos sources, le suspect avait un penchant fort pour les vols par effraction. Selon les mêmes sources, ce bandit avait un mode opératoire des plus classiques. Toujours en quête de butins à voler, il n’hésitait pas à commettre une effraction.
Son mode opératoire est simple. Il brise la vitre et fait main basse sur les objets qu’il juge précieux et disparaît, ni vu ni connu. Il a longtemps sévi, jusqu’au 01er avril dernier, date à laquelle il est tombé dans le filet des hommes du divisionnaire Yaya Coulibaly. Et depuis, il croupit derrière les barreaux. L’interpellation du jeune homme est survenue à la suite d’une plainte contre sa personne.
à la date du 30 mars dernier, M.S avait mené une opération à Ségou danqs le quartier de Missira au cours de laquelle, il avait soustrait, par effraction dans le véhicule d’un particulier, une somme de 75.000 Fcfa, un Airpod (écouteurs sans fil) et un pistolet automatique » Glock 17 ", garni de 17 cartouches. « L’une des forces de la police réside dans la collaboration de la population victime », ne cessent de marteler les limiers.
Par collaboration, il suffit qu’un tel saisisse la police pour q’une affaire de ce genre soit débusquée. Et, c’est cette attitude des populations qui semble avoir été très déterminante dans l'interpellation de ce voleur d’un autre genre qui rendait la vie difficile aux automobilistes. Saisis, les hommes du divisionnaire n’ont pas tardé à réagir.
C’est ainsi que grâce à des investigations rapides, menées par la brigade de recherches sous la conduite du commissaire de police, Oumar Dabo, le suspect identifié a été appréhendé dans la nuit du 1er avril, soit 48 heures après l'incident. Une perquisition de son domicile a permis de retrouver l'arme volée ainsi que les cartouches, en plus des Airpods.
Son dossier n’a pas traîné sur le bureau des limiers. Le suspect a été ensuite mis à la disposition de la justice. Le chargé du 2eme arrondissement de Ségou, a salué l’efficacité de ses équipes et a exhorté la population à rester vigilante, appelant à la dénonciation de tout acte suspect dans le but d'endiguer la criminalité sous toutes ses formes.
Tamba CAMARA
Nous les désignerons par leurs initiales pour des raisons bien compréhensibles. Il s'agit de M.K (17 ans), B.W (18 ans), B.T (28 ans), M.T (48 ans), Mo.K (17 ans) et Mo.T (16 ans)..
«L’apparence est trompeuse», dit une maxime connue de tous. Autrement dit, on ne doit jamais se laisser convaincre par ce qu’on aperçoit à l’extérieur d’un individu. Et pour cause, il est possible que la personne garde des tonnes de mauvaises choses à l’intérieur d’elle même..
Les policiers les plus avertis vous diront que « l’occasion fait le larron ». Eux (les limiers) qui ont pour mission de protéger les personnes et leurs biens dans la cité savent de quoi ils parlent. Pour la simple raison que chaque jour que Dieu fait, les malfrats prouvent l’évidence de cet.
De par leur nature, certains individus ne se plaisent que lorsqu’ils constatent que leurs semblables traversent des moments de difficultés, quoi que éphémères..
Les éléments du commissariat de la Régie chemins de fer de Kayes avec à leur tête le commissaire principal Mohamed B. Koumaré, ont récemment mis hors d’état de nuire quatre individus qui s’apprêtaient à mettre sur le marché de la viande de bœuf impropre à la consommation..
«Il faut tout un village pour éduquer un enfant », dit une maxime bien connue chez nous. D’où toute l’importance de l’implication de toute la communauté dans l’éducation de l’enfant. à commencer par sa famille, le voisinage, le quartier, voire tout le village..
