
Selon le communiqué datant du 4 janvier dernier, l’opération est jusque-là couronnée par un franc succès. Malgré les poses d’engins explosifs improvisés (EEI) et d’embuscades auxquelles les Forces armées maliennes (FAMa) ont vigoureusement réagi, elles ont infligé de lourdes pertes aux groupes armés terroristes. Avec à la clé des interpellations.
Ainsi, toujours selon l’État-major général des Armées, le 22 décembre 2021 à la foire hebdomadaire de Toubacoro, il y a eu 14 interpellés, dont cinq Mauritaniens et neuf Maliens. Après investigations de la prévôté, il a été procédé le lendemain à la libération des cinq Mauritaniens dans la soirée. «Le 25 décembre 2021, quatre Maliens ont été libérés, en présence d’une autorité de Banamba et certains membres de leurs familles. Le 28 décembre 2021, quatre autres Maliens ont été libérés en présence de la prévôté et des membres de leurs familles. Le 29 décembre 2021, le dernier Malien a été libéré en présence de la prévôté», lit-on dans le communiqué.
Aussi, le 25 décembre 2021, à Bamadjougou, une patrouille de l’opération ‘’Kélétigui’’ a interpellé huit suspects dans ce village situé à 20 km à l’Ouest de Mourdiah. Après investigations et intervention d’une autorité coutumière, poursuit l’État-major général des Armées, les suspects ont été libérés. Le 28 décembre 2021, à Madina-Kakôrô, sur la base de renseignements, une mission a été dépêchée sur Madina-Kakôrô, localité située à 25 km au Sud de Mourdiah et procédé à 13 interpellations. Le lundi 3 janvier 2022, vers 12h30mn, 11 d’entre eux ont été libérés.
Les deux autres sont toujours au niveau de la prévôté. Selon les renseignements recueillis auprès des sources locales, ces deux autres seraient des logisticiens des groupes armés terroristes et complices des actes perpétrés à Madina-Kakôrô.
Cependant, force est de constater que quelques images et publications sur les réseaux sociaux, consécutives à des crimes dans la Région de Nara viennent jeter l’opprobre sur cette opération combien salvatrice et porter un discrédit sur les FAMa. Face à la situation, l’État-major général des Armées informe l’opinion nationale et internationale qu’une enquête est déjà ouverte au niveau de la gendarmerie pour déterminer les circonstances exactes, les personnes ou groupes ayant commis ces crimes horribles. Il présente par ailleurs, ses condoléances les plus attristées aux familles des victimes et rassure les populations que ces opérations militaires se poursuivront dans le respect strict des droits de l’Homme et du Droit international humanitaire.
«Rien ne saurait entamer l’engagement et la détermination de nos forces à bouter le terrorisme hors de nos frontières et à assurer la sécurisation des personnes et des biens», conclut le communiqué.
Oumar DIAKITE
Les enseignants des écoles publiques du District de Bamako reprennent le travail dès ce lundi 20 octobre 2025 aux heures habituelles des cours..
En marge de la 3è édition des journées Ouest-africaines de l'audit interne, tenues à Bamako les 16 et 17 octobre, le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta a reçu, ce vendredi 17 octobre, une délégation de l’Association des contrôleurs, inspecteurs et auditeurs .
Certains rapports occidentaux tentent désespérément de faire croire que le Mali serait une « république en ruine », une «transition sans cap», un pays «sous tutelle russe» condamné à l’isolement. Ce récit, souvent répété, ignore la logique interne d’un processus souverain qui.
Lancé depuis le mois de septembre, par la Direction nationale de la pédagogie (DNP) avec l’appui technique et financier du Projet d’amélioration de la qualité et des résultats de l’éducation pour tous au Mali (Miqra), l’atelier d’élaboration et de validation des livrets pédagogique.
Dans le cadre des activités de la 30è édition du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, le gouverneur de la Région de Mopti, le Général de brigade Daouda Dembélé a respecté la tradition en rendant visite, mercredi 15 octobre, aux deux personnes les plus âgées de la Co.
Suite à la recrudescence de l’insécurité dans la Région de Gao, des mesures strictes ont été prises concernant les activités illicites sur le site minier de N’tahaka, situé à une cinquantaine de kilomètres de la Commune urbaine de Gao..