
Les
postulants composent dans différentes matières, notamment la résistance des matériaux
(RDM), le français, l’hygiène alimentaire, l’électrotechnique, la technologie,
les travaux publics (TP) et les TP de pâtisserie, entre autres. Ce centre
d’examen de l’IF-SAB accueille 668 candidats, repartis entre 14 salles sous l’autorité
de 45 surveillants. Les candidats sont inscrits dans la filière industrielle
(dessin-bâtiment, électricité, maçonnerie et mécanique auto).
Tôt le matin, les éléments
des forces de sécurité ont été déployés au niveau du centre pour procéder aux
fouilles systématiques des candidats à leur arrivée. Si certains d’entre eux
ont été renvoyés à la maison pour
n’avoir pas vu leurs noms sur la liste, d’autres ont été priés de retourner
chercher leurs pièces d’identité.
La ministre de l’Éducation nationale, Mme
Sidibé Dédéou Ousmane, accompagnée du directeur du Centre national des examens
et concours de l’éducation (CNECE), Mahamadou Keïta, a donné le coup d’envoi
des épreuves écrites au Centre d’examen de l’Institut de formation
professionnelle Sonni-Ali-Ber (IF-SAB) de Banankabougou dans la salle n°85 à 8
heures où elle a ouvert la première enveloppe contenant l’épreuve de RDM (spécialité
dessin-bâtiment).
Ensuite des copies du sujet ont été distribuées aux candidats
dans la plus grande transparence. Le sujet était : «Définis la traction. Les résultats
de l’essai de traction de l’éprouvette cylindrique en acier doux permettent
d’obtenir un diagramme des déformations. Trace ce diagramme et interprète ses
différentes parties» est la question de cours (5 points) adressée aux candidats». L’exercice n°1 est : «Détermine les
coordonnées du centre de gravité de la figure ci-dessus».
Quant à l’exercice n°2,
il est intitulé : «La poutre ci-dessus montre un encastrement. On vous
demande, entre autres, de déterminer les actions de contact et d’etudier la
variation de l’effort tranchant T.» Pour Mme Sidibé Dédéou Ousmane, le Mali ne
peut pas avancer sans le domaine des techniciens qui est un secteur très vital
pour son développement économique. «Notre pays a besoin de techniciens qualifiés
sur le marché de l’emploi.
La surveillance du Cap sera rigoureuse et transparente tout comme les autres examens», renchérit la ministre en charge de l’Éducation. Et d’ajouter que les examens visent à tester le niveau des jeunes scolaires afin de corriger leurs lacunes. Enfin, la ministre de l’Éducation nationale a réaffirmé le soutien des autorités de la Transition. «Nous souhaitons que les résultats obtenus à l’issue de nos différents examens reflètent les propres connaissances, les efforts d’apprentissage de nos enfants», a-t-elle déclaré. La cheffe du département a également exhorté les surveillants à plus de fermeté et de rigueur.
Sidi WAGUE
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