
Actuellement, il suffit de regarder un peu dans le rétroviseur pour comprendre que le monde évolue. Dans le contexte malien surtout, certains faits sont tout simplement inimaginables. Consécutivement, les habitudes changent aussi bien positivement que négativement. C’est à cause de ce dernier cas que les commissariats de police enregistrent des infractions jadis peu, voire autour pas connues par le grand public.
En dépit de toute la communication faite de ces infractions, certains individus malintentionnés foulent les textes au pied pour satisfaire leurs vices, quoique cela peut leur coûter. C’est de Y.D qui vient d’être alpagué par les éléments de la brigade de répression du trafic illicite de migrants et de la traite des êtres humains (BRTMTEH), pour « cyber proxénétisme avéré » sur les réseaux sociaux.
Cette façon de faire se passe sur des plateformes d’annonces en ligne, des propositions d’annonces en ligne, des propositions de rencontres (hommes/femmes), et de forums se rapportant à la sexualité. Le tout est piloté par un proxénète dont le rôle principale est de mettre les internautes en contact par le biais de groupes de réseaux sociaux, moyennant une commission. D’où le caractère d’exploitation sexuelle moyennant de l’argent.
Pour ce qui est du cas présent, il s’est passé sur WhatsApp où le suspect n°1 mettait en contact plusieurs groupes de ce réseau social, regroupant de nombreuses femmes mariées. Mais Y.D, agissait à l’ombre, sans savoir que les agents de la brigade de lutte contre la cybercriminalité, citée plus haut veillait au grain.
Pendant que le cyber criminel agissait, il y eu malheureusement une fuite d’éléments sonores de plus de 700 femmes, (des femmes mariées y comprises) qui partageaient un groupe sur WatsApp. Cette fuite a fini par se retrouver sur TikTok, suscitant l’indignation de l’opinion.
Selon les informations, le suspect facilitait les rencontres sexuelles entre les différents membres du groupe. Et il percevait une somme d’argent sur chaque rencontre qu’il initiait ou facilitait. Mieux, pour être membre du groupe créé par le jeune homme, le candidat était astreint au paiement de la somme de 3.000 Fcfa. Une fois qu’il est membre officiel, il a librement accès aux contacts d’une femme pour une éventuelle rencontre, également tarifée.
Pour attirer la clientèle, le jeune homme avait sur sa plate forme des vidéos de prostitution, des photos de nudité ainsi que des témoignages, tous liés au sexe. Le proxénète aurait longtemps vécu dans ce business lucratif sans s’inquiéter outre mesure. Il est finalement tombé entre les mains de la police dans la nuit du 11 au 12 avril dernier, à la suite d’une opération policière bien organisée sur WhatsApp, Tik Tok et Instagram.
Les enquêtes se poursuivent pour démanteler ce qui pourrait être un réseau de « dépravation de nos mœurs ». Les autorités policières ont mis l’occasion à profit pour inviter la population à la vigilance et à plus de collaboration pour aider la police à mener à bien ses missions.
Tiedié DOUMBIA
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