Ce moment de fortes émotions a été présidé par le ministre
en charge de la Communication, Me Harouna Mamadou Toureh, en présence de
plusieurs collaborateurs des désormais retraités. Après une brève présentation
de leurs parcours professionnels, le ministre Toureh a souhaité une «très bonne
retraite» à Baba Nadio et Diarran Koné. Il a chaleureusement remercié les deux
pour le service rendu à la nation. «C’est un plaisir et un honneur de partager
les derniers moments de départ de nos deux anciens collègues, les maréchaux.
Nous avons eu les meilleures relations de travail même si au départ, j’ai senti
dans la voix de chacun quelques inquiétudes et questionnements sur ma façon de
travailler. Mais, ils ont vite compris que chez moi, c’est l’ouverture, la
compréhension, l’entente et le développement de l’esprit de famille plus que la
collaboration», a révélé Me Harouna Mamadou Toureh.
Il soulignera que les
nouveaux retraités ont travaillé ardemment avec engagement pour que chacun,
dans son domaine, puisse apporter sa contribution à l’édification de notre
nation en situation de conflit. À l’endroit des familles de Baba Nadio et de
Diarran Koné, le ministre a déclaré : «Je vous demande de bien les
accueillir à la maison et de leur donner le temps de bien mériter leur retraite».
Les partants ont témoigné aussi de leur reconnaissance. «Nous
gardons encore en mémoire la bonne humeur, l’enthousiasme et la bonne
collaboration au sein du ministère, même s’il reste encore quelques colas et
poulets à payer», a dit Diarran Koné, affichant un large sourire aux coins des
lèvres. Et de s’adresser au ministre en ces termes : «Notre collaboration
sous votre gouvernance a été un moment de rigueur, de respect, d’humanisme et
de considération. Nous sommes heureux et chanceux de voir ce jour, abandonner
le service pas pour des raisons de santé, mais pour une raison de sérénité, de
vieillesse. Nous sommes aujourd’hui dans le paradis du travailleur.» Il n’a pas
manqué de remercier ses collaborateurs.
Son collègue Baba Nadio dira qu’il n’arrive pas à exprimer le degré de sa joie de voir ce jour. Il a conseillé à la nouvelle génération de toujours prendre en considération l’État dans le travail. «Si l’État marche, c’est tout le monde qui marche», a-t-il dit. À la fin de cette sobre, mais émouvante cérémonie, le ministre a remis, au nom de son département, une enveloppe symbolique à chacun des deux nouveaux retraités.
Fadi CISSE
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