
Des membres du Remapsen Mali reçoivent leur trophée
Le deuxième et le troisième prix ont été
remportés par Madagascar et la Guinée. La remise des trophées s’est déroulée
à la cérémonie de clôture de ce Forum, présidée par le secrétaire général du
ministre de la Communication et des Médias du Togo, Tinaka Kossi
Il y a eu d’autres prix, ceux de Thibault
Adjibodin du Togo pour les meilleurs journalistes en environnement. Ces prix
ont été remportés par Hector Namangue, du Togo, Wilfrid Diakabakana
du Congo, Cécile Goudou de l’Office de radiodiffusion et télévision du Bénin
(ORTB). Les prix Brigitte Mopané de la République démocratique du Congo pour
les meilleurs journalistes en santé ont été remportés par Ambroisine Mêmèdé
du Togo, Idrissa Niassy du Sénégal et Madina Belemviré du Burkina
Faso. Un prix spécial a été décerné au président togolais, Faure Gnassimgbé.
Le président du Remapsen, Youssouf Bamaba, a déclaré
qu’il fallait ces prix pour encourager ceux qui sont déterminés dans leur
travail et pousser d’autres à leur emboîter le pas. D’après lui, la santé et
l’environnement sont des domaines qui ne sont pas très prisés chez les
journalistes.
Dans une vidéo, l’ancien ministre Michel Sidibé
a remercié le Remapsen et ses partenaires pour le choix porté sur sa personne
pour ce prix. Il a souligné que c’est avec une grande joie et une grande
humilité qu’il accueille l’instauration et l’institutionnalisation du prix
Michel Sidibé de la meilleure coordination pays du Remapsen. «J’exprime toute
ma reconnaissance au Remapsen pour l’honneur qui m’est accordé», a-t-il confié.
Et d’ajouter que cette reconnaissance «de mes efforts au cours des 40 dernières
années en faveur de la santé en Afrique renforce ma détermination à persévérer
sans relâche», car le chemin vers la santé pour tous est encore long.
La
coordonnatrice du Remapsen Mali, Mme Fanta Diakité de Radio Kledu, s’est réjouie
de la reconnaissance des efforts des membres de sa coordination à travers ce
prix et a réaffirmé l’engagement de sa coordination dans la promotion de la
santé en Afrique. «Tant que la maladie existe, nous allons continuer à
sensibiliser. Au 21è siècle, il n’est plus acceptable qu’un enfant décède avant
d’avoir célébré ses 5 ans», a-t-elle dit. Pour la coordinatrice, ce n’est plus
acceptable qu’une mère, en donnant la vie, meurt et de voir des enfants zéro
dose de vaccin. Ou de voir un enfant atteint de malnutrition chronique irréversible.
Le Réseau recommande aux États africains
d’impliquer les coordinations nationales du Remapsen dans l’élaboration et la
mise en œuvre des stratégies nationales
et les plans d’actions opérationnelles de lutte contre les maladies infantiles,
de promotion de la vaccination et de la nutrition et dans l’élaboration des
plans de communication pour assurer une meilleure promotion la santé infantile,
la vaccination et la nutrition.
Aux organismes sous-régionaux, régionaux,
internationaux et autres partenaires d’appuyer le Remapsen dans la promotion de
la santé infantile, la vaccination et la nutrition, en l’impliquant dans toutes
les initiatives sous-régionales, régionales et internationales en la matière.
Et aux coordinations nationales du Remapsen d’organiser une restitution au
niveau pays pour un large partage des conclusions et des recommandations du
Forum de Lomé, d’appuyer les programmes de santé infantile de chaque pays dans
leurs activités de communication. Aussi d’assurer la coordination et la
documentation des productions médiatiques des membres du Remapsen pays et de
faire régulièrement des productions médiatiques sur la santé infantile, la
vaccination et la nutrition.
Envoyée spéciale
Fatoumata NAPHO
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