
Durant quatre jours, les participants à cette formation se familiariseront avec le système d’alerte et de veille sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle
La cérémonie d’ouverture des travaux, qui ont
débuté hier dans un hôtel à Banankoro, a été présidée par le Commissaire à la sécurité
alimentaire, Redouwane Ag Mohamed Ali.
Durant
quatre jours, les participants à cette formation se familiariseront avec le
système d’alerte et de veille sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle, le
mécanisme du cadre harmonisé et la passerelle de désagrégation des effectifs de
personnes vulnérables du niveau régional vers le niveau communal, et les outils
de planification de suivi-évaluation du PNR. Ils apprendront également les
canevas d’élaboration des rapports communaux et régionaux sur la réponse à
l’insécurité alimentaire.
Le
PNR, bâti autour de l’engagement des autorités à éradiquer la famine et la
malnutrition, constitue l’ossature même de la Politique nationale de sécurité
alimentaire. Il demeure le mécanisme d’intervention le mieux approprié que l’État
met en œuvre chaque année, avec l’appui de ses partenaires, pour répondre aux
difficultés alimentaires sur le territoire national.
Cette année, selon
Redouwane Ag Mohamed Ali, le Conseil national de sécurité alimentaire (CNSA) a
formulé trois recommandations visant à améliorer l’efficacité et la lisibilité
de la réponse. Il s’agit de poursuivre la communication sur la situation
alimentaire et les réponses envisagées, sur l’opérationnalisation des outils de
planification et de suivi-évaluation et, enfin, apporter la réponse aux crises
en améliorant la lisibilité des assistances.
Le
Commissaire à la sécurité alimentaire a exhorté les acteurs à l’assiduité et à
une participation active qui permettra de répondre dans le court terme aux
exigences de gestion prônées par les autorités et les partenaires. Le
porte-parole des participants, Adama Assagaïdou Maïga, a affirmé que cette
formation leur permettra d’être bien outillés pour faire face à la justesse de
distribution gratuite sur le terrain pour que les plus démunis soient les plus
visés.
Aussi, a-t-il ajouté, elle permettra à l’État de voir l’efficacité de son action au niveau des populations. Selon le CAEF du gouverneur de Kayes, ils pourront, à la fin de cette session, suivre comment le ciblage des victimes est réalisé sur le terrain, mais aussi l’action des ONG qui vont intervenir à l’endroit des populations cibles.
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