![N’GOLONINA : Le voleur de charbon de bois pris la main dans le sac](http://admin.lessor.ml/assets/img/posts/1682666719.jpg)
Il avait longtemps troublé la quiétude des populations de N’Golonina en Commune II du District de Bamako et ses environs. Toute chose a une fin, dit-on. Le malheureux garçon a été alpagué par les policiers du commissariat de police de Quinzambougou que dirige le commissaire divisionnaire, Amadou I. Balobo Maïga. Son interpellation est survenue à la suite du dépôt de la plainte d’une vendeuse de sacs de charbon de bois.
La plaignante est une vendeuse de brochettes à N’Golonina. Dans le cadre de cette activité, il lui arrive de stocker des sacs de charbon de bois non loin de son lieu de commerce. C’est ainsi qu’elle a été victime du vol de 19 sacs de charbon, sans qu’elle puisse se donner la moindre explication. En plus d’elle, plusieurs autres voisines avaient été victimes de larcins. Malheureusement, c’est au cours d’un de ses forfaits que le jeune homme a été aperçu par des voisins qui ont alerté la plaignante et le garçon a été coincé et interpellé par la police.
Auditionné, il a reconnu l’entièreté des faits à lui reprochés. Cependant, il s’est défendu n’avoir volé qu’un sac, au lieu de 19. Selon la plaignante, un sac de charbon coûte 3.500 Fcfa. Ainsi la dame a réclamé le paiement de 66.500 Fcfa. Le dossier du voleur a été transféré devant le parquet du Tribunal de grande instance de la Commune VI du District de Bamako.
Tiedié DOUMBIA
Plus de 1,2 milliard de Fcfa. C’est ce montant qui est reproché à un auteur de crime financier. Il s’agit de Sory Ibrahima Diarra, agent comptable d’alors de la Société de distribution de marques (Sodima-sarl). Le financier aurait détourné ce pactole en trois ans par des méthodes frau.
L’Ong World Vision international (WVI) a célébré hier au Centre international de conférences de Bamako (CICB), la Journée de lutte contre le travail des enfants sous le thème : «Respectons nos engagements : mettons fin au travail des enfants»..
En dépit de son âgé très avancé, l’octogénaire n’a pas résisté à la tentation de fabriquer des faux documents pour faire de lui le propriétaire légal du domicile paternel. Il sera pris à son propre piège par la suite....
La chargée des opérations de «Sikka cash» effectuait des transferts frauduleux au détriment de son établissement bancaire. Elle a été condamnée à 5 ans de prison ferme et au remboursement de plus de 153 millions de Fcfa, la somme qui lui est reprochée.
Les infractions d’atteinte aux biens publics, de soustraction de biens dans le secteur privé, de corruption, de faux et usage de faux, de favoritisme sont les affaires les plus nombreuses. Et le Parquet explique que le détournement de milliards de Fcfa constitue une forme de terrorisme.
Pour une histoire de bagarre entre frère et sœur, le père a battu cette dernière à mort. Face aux policiers, il a tenté de maquiller son acte en suicide. Les juges ont quant à eux une autre interprétation des faits de ce genre.