
Lesquels messages sont appuyés par des
«commentaires mensongers». Dans sa note, l’instance de régulation des médias
estime que de tels messages «détournent les populations des structures
sanitaires qualifiées, avec des conséquences graves sur la santé des malades».
Ainsi,
rappelle-t-elle aux organes de presse, agences de communication et régies
publicitaires que la «publicité sur les médicaments est strictement encadrée en
République du Mali» par des textes. Le premier est la loi n°2017-017 du 12 juin
2017 fixant le régime de la publicité. Et le second est l’arrêté
n°2018-4281/MSHP-SG du 7 décembre 2018, fixant les conditions de publicité
relative aux médicaments à usage humain et autres produits pharmaceutiques.
La Hac souligne qu’en
vertu des dispositions de ces textes, notamment l’article 28 de la loi
précitée, «toute publicité de produits pharmaceutiques ou de pharmacopée doit,
au préalable, obtenir un visa délivré par les ministères en charge de la Santé
et de l’élevage». Ce visa est alors suspendu si la publicité est jugée
mensongère.
La Haute autorité de la communication invite tous les intervenants du secteur à une observance stricte de cette disposition sous peine de s’exposer aux sanctions prévues par les lois et règlements en la matière.
Fadi CISSE
Les corps des sept pèlerins maliens qui ont perdu la vie, le 11 Août 1974 au Burkina Faso, dans un crash alors qu’ils rentraient au pays après le pèlerinage de la Oumra en Arabie Saoudite reposent désormais au cimetière de Hamdallaye en Commune IV du District de Bamako..
Le collage d’affiches portant l’inscription «Attention, nouvelle conductrice» sur la voiture fait partie des astuces que certaines personnes au volant utilisent pour se faciliter la circulation dans la capitale. Et apparemment ça marche.
La Haute autorité de la communication (Hac), en partenariat avec le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), a initié une formation des journalistes sur l’application des instruments juridiques nationaux et internationaux relatifs à la protection et à la promotion de l’image des en.
Répondant à la sollicitation du gouvernement, ces derniers s’engagent à mutualiser leurs moyens pour faire face à toute éventuelle pénurie de denrées de première nécessité dans ces localités. Pour y arriver, ils demandent aux autorités de sécuriser les axes routiers reliant les régio.
Après la fête, le temps semble tourné au ralenti. Bamako est encore dans la mouvance de l’Aid el-fitr et cela se traduit par une morosité patente dans plusieurs secteurs d’activité comme les banques et autres établissements financiers.
Cet acte de solidarité estimé à près de 45 millions de Fcfa, concerne 31 lieux de culte dans des villes du pays abritant des agences ou des points de vente de la Banque de développement du Mali (BDM-SA).