Lesquels messages sont appuyés par des
«commentaires mensongers». Dans sa note, l’instance de régulation des médias
estime que de tels messages «détournent les populations des structures
sanitaires qualifiées, avec des conséquences graves sur la santé des malades».
Ainsi,
rappelle-t-elle aux organes de presse, agences de communication et régies
publicitaires que la «publicité sur les médicaments est strictement encadrée en
République du Mali» par des textes. Le premier est la loi n°2017-017 du 12 juin
2017 fixant le régime de la publicité. Et le second est l’arrêté
n°2018-4281/MSHP-SG du 7 décembre 2018, fixant les conditions de publicité
relative aux médicaments à usage humain et autres produits pharmaceutiques.
La Hac souligne qu’en
vertu des dispositions de ces textes, notamment l’article 28 de la loi
précitée, «toute publicité de produits pharmaceutiques ou de pharmacopée doit,
au préalable, obtenir un visa délivré par les ministères en charge de la Santé
et de l’élevage». Ce visa est alors suspendu si la publicité est jugée
mensongère.
La Haute autorité de la communication invite tous les intervenants du secteur à une observance stricte de cette disposition sous peine de s’exposer aux sanctions prévues par les lois et règlements en la matière.
Fadi CISSE
Les chauffeurs blessés dans le cadre du transport d’hydrocarbures bénéficieront désormais de soins médicaux gratuits offerts par l’Agence nationale d'assistance médicale (Anam). Le gouvernement a également décidé d'octroyer le statut de pupilles aux enfants des chauffeurs et apprentis d.
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Les participants ont fait l’état de mise en œuvre des recommandations.
La commémoration de la journée des légitimités traditionnelles a été marquée à koulikoro par une conférence-débat sur leurs rôle et responsabilité dans l’éducation et la construction du «Maliden Kura», autrement dit un nouveau type de Malien..
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