C'est dans la salle N°1 du centre du Lycée Kalilou Fofana que l'enveloppe de la première partie BT1 Industrie, spécialité Dessin bâtiment, a été ouverte par le Directeur de cabinet. C’était en présence du Directeur de l’Académie d’enseignement de Bougouni, Mamadou Sissoko, des membres du cabinet du gouverneur, des Forces de défense et de sécurité et des responsables de l’éducation.
Le Directeur de cabinet s'est dit satisfait des dispositions organisationnelles qui constituent le maillon important de la tenue de ses examens. Dramane Diakité a prodigué des conseils aux candidats en leur disant de compter sur leur effort personnel gage de réussite qui les permettra de pouvoir entamer une carrière professionnelle.
Il a aussi salué la présence remarquable des Forces de défense et de sécurité pour une bonne sécurisation du centre d’examen. Avant de souhaiter bonne chance à tous les candidats dans la discipline à la quête de ce sésame.
Baba Harbèr TOURE / AMAP - Bougouni
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.