
Cette commémoration vise à renforcer la cohésion sociale, le dialogue et la confiance entre habitants dans le quartier
La cérémonie s’est déroulée en présence du maire
de la Commune III, Mme Djiré Mariam Diallo, du parrain de l’évènement Dionké
Diarra et de plusieurs autres invités. À travers cette commémoration, la population
de Dar Salam entend renforcer dans le quartier la cohésion sociale, le dialogue
et la confiance entre habitants en vue de construire des liens de solidarité pour le développement local. Il
s’agit aussi de mobiliser autour de l’évènement, les quartiers voisins de la
Commune III. Toute chose qui permettra de partager l’historique de Dar Salam,
ses approches endogènes et ses perspectives de développement.
Le parrain de l’évènement dira qu’avant d’être
baptisé en 1922 par Thierno Sidy et Thierno Tidiane, le quartier Dar Salam
portait le nom de Kolokotobougou (village de célibataire). Ajoutant que quand
les fondateurs de Dar-Salam se sont installés, ils ont construit la mosquée
zaouïa ou la mosquée Thierno Tidiane Siby dit Seydi, l’une des premières mosquées
de Bamako.
Ainsi pour Dionké Diarra cette célébration offre une heureuse
opportunité aux habitants du quartier de se rencontrer, de communiquer et d’échanger
sur les difficultés du moment et en toute fraternité. Dans le but de faire des
propositions et suggestions d’améliorations, voire de résolutions des problèmes.
« La responsabilité de chacun de nous est engagée dans la
construction et l’épanouissement de notre quartier», a-t-il indiqué.
Quant au représentant du chef de quartier,
Moctar Koureichi, il a rappelé que le quartier Dar Salam est l’un des plus
anciens de Bamako. Ajoutant qu’en 1933, la ville de Bamako comptait huit
quartiers; à savoir Dar Salam, Oulofobougou, Bozola, Niaréla, Dravéla,
Bagadadji, Médina Coura et Bamako Coura.
Selon Bagui Diarra, membre de l’organisation
de ce centenaire, l’objectif de cette cérémonie est de se réunir pour discuter
ensemble des problèmes du quartier et jeter les bases d’un développement intégré
local inclusif. «Le centenaire ne vise pas à faire une mobilisation de
masse, mais de faire connaître et de magnifier les personnalités et faits ayant
marqué l’existence du quartier». Il ajoutera que l’identité du quartier devra être
davantage rehaussée par ses propres enfants qui ont la lourde tâche de relever
les défis et d’instaurer la prospérité pour tous.
Les activités de cette commémoration, selon Bagui Diarra, ont porté, entre autres, sur des conférences-débats, des projections de films sur les témoignages faits par les personnalités du quartier dans le cadre du centenaire. Il y a eu aussi une exposition photos et des activités sportives.
Pour le maire de la Commune III, cet évènement
est important pour le quartier et pour sa commune, car il met en exergue
l’importance du vivre ensemble, de la paix et de la cohésion sociale.
«C’est
une initiative à encourager... Nous avons besoin de telle action au niveau de
la commune et partout dans le pays pour
le développement du Mali», a dit Mme Djiré Mariam Diallo. Le début de la cérémonie avait été marqué par
la lecture du Saint Coran et des prières pour la paix et la stabilité dans
notre pays.
Baya TRAORE
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