
La journée internationale de la jeune
fille vise à mobiliser communauté, décideurs et partenaires sur la réalisation
des droits fondamentaux de l’enfant et des filles en particulier à travers des
instruments juridiques internationaux, régionaux et nationaux. C’est dans cette
vision que le département en charge de la Promotion de la Femme entend
immortaliser cette journée qui mettra un accent particulier sur le rôle des
filles dans la refondation de l’État.
Le directeur national de la promoton de
la femme, de l’enfant et de la famille, Youssouf Bagayoko, affirmera que la
Journée vise à offrir aux filles tous services qu’elles méritent, mais aussi
faire en sorte qu’elles puissent être actrices de leur propre développement.
Selon lui, les filles rencontrent, aujourd’hui, d’énormes difficultés et pour
les surmonter, il faudrait que nous puissions travailler à réduire les inégalités
entre filles et garçons. Mais aussi que les enfants en particulier les filles
puissent prendre conscience des valeurs que nous voulons véhiculer.
La directrice de la Cité des enfants, Mme Koumaré Amina Cissé, a expliqué que la journée veut dire tout simplement qu’avant d’être femme, on est d’abord une jeune fille. Nous sommes mères, épouses, nous sommes aussi des piliers de la famille. C’est pourquoi, on a jugé nécessaire de dédier une journée à la jeune fille.
La Journée internationale de la fille a été instituée le 19 décembre
2011. Depuis, il y a eu des avancées. L édition 2023 offrira l’opportunité de réaliser
deux activités principales, notamment le
concours d’art oratoire qui concernera 10 filles de la tranche 8-12 ans.
Chacune d’entre elles choisira une région de son choix avec un thème en rapport
avec l’actualité et en lien avec la refondation. Il y aura aussi une élection
Miss «Niéleni» entre 10 autres filles de la même catégorie d’âge sur le plan
culturel. Toutes seront habillées en tenues traditionnelles et parleront des
professions qu’elles aimeraient exercer à l’avenir.
Selon le conseiller à la communication publique au niveau de Plan international Mali, Abdourahmane Coulibaly, la Journée internationale de la fille est essentielle. Pour lui, son organisation a initié la célébration de cette journée au Mali avec l’accompagnement du ministère de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille et de plusieurs autres partenaires, a-t-il expliqué. Le thème est assez révélateur de la situation qui prévaut. Et d’affirmer que c’est un processus qui doit être soutenu.
Aminata SOUMAH
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