
Parmi les universitaires interpellés, 30 étudiants ont été déférés pour détention illégale d'armes à feu, de munitions, d'armes blanches et complicité ; 10 autres pour détention de chicha en milieu universitaire. Ainsi que neuf estudiantins pour détention illégale d'effets militaires dans l'espace universitaire.
L’université est un lieu de formation et de recherches. Cependant, à Bamako, cet espace devient de plus en plus dangereux, avec la présence d’armes à feu, d’armes blanches, des vols, du vandalisme, des harcèlements et de beaucoup d’autres formes de violences.
Depuis quelques années, les violences universitaires sont devenues fréquentes sur les campus. En 2020, le gouvernement avait pris d’importantes mesures contre toute violence en milieu universitaire. Pour rappel, ces décisions s'inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre des feuilles de route et des plans d'action issus des recommandations du Forum national sur l'insécurité en milieu scolaire et universitaire.
Elles portaient sur la libération des domaines universitaires des occupations illégales, notamment les parkings, les gargotes, les kiosques dans un délai d'un mois, l'organisation de patrouilles et des fouilles périodiques dans ces cités et la dénonciation des protocoles signés entre l'Association des élèves et étudiants du Mali (AEEM) et le Centre national des œuvres universitaires (CENOU), y compris la mise en place des Groupes de sécurité universitaires (GSU).
À ces dispositions, s'ajoute l'opérationnalisation des postes de sécurité créés dans les cités universitaires. Il était également prévu quatre postes pour la Cité universitaire de Kabala, trois pour la Colline de Badalabougou et un pour l'Institut polytechnique rural de formation et de recherche appliquée (IPR/IFRA) de Katibougou.
Souleymane SIDIBE
Dans un communiqué datant de ce mardi 14 octobre 2025, l´État-major général des Armées a révélé le bilan des opérations du 13 octobre dernier dans la Région de Tombouctou..
Le Mali a célébré, ce 13 octobre 2025, la Journée internationale pour la réduction des risques de catastrophes, placée sous le thème « Financer la résilience, pas les catastrophes ». À cette occasion, le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, le Général de division Daoud .
Cette annonce a été faite ce lundi 13 octobre par l'État-major général des Armées à l'issue d'une opération menée le samedi 4 octobre dernier. Un autre coup de massue sur les forces du mal après les faits d'armes des FAMa et leurs alliés de l’AES en milieu de semaine dernière.
Les frappes aériennes menées le 8 octobre 2025 dans le secteur d’Inarabane, Région de Ménaka, et ayant fait l’objet d’un communiqué le 9 octobre, ont été exécutées avec un remarquable succès et une grande précision, a annoncé ce samedi 11 octobre 2025 la Direction de l’informatio.
Hier vendredi 10 octobre, les vecteurs aériens des Forces armées maliennes (FAMa) ont encore engrangé des succès en détruisant des bases terroristes dans la zone frontalière avec le Niger..
Dans le cadre des opérations de sécurisation du territoire national, les Forces armées maliennes (FAMa) ont mené, dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 octobre 2025, une intervention de grande envergure dans la zone de Zantiebougou, Région de Bougouni..