Par malheur pour lui, les limiers du poste de police de ce lieu sentant un comportement suspect de sa personne l’ont interpellé avant de le remettre aux éléments du commissariat de police Quinzambougou que dirige le commissaire divisionnaire, Amadou I. Balobo Maiga.
Les policiers ne cessent de rappeler toute l’utilité du renseignement. Selon les policiers, le jeune homme, âgé d’une vingtaine d’années était dans ce secteur populeux de la Commune II. C’est son attitude suspecte qui a mis les limiers sur ses traces discrètement avant de finalement le trouver en possession d’une arme à feu et des objets de provenance douteuse.
Interpellé puis conduit dans les locaux du commissariat, il sera établi que le jeune Guinéen originaire de la Sierra Leone est en réalité un vagabond. Sans domicile fixe, celui qui s’est déclaré être menuisier avait au fil du temps mis son génie au service du larcin. Rien d’étonnant qu’il soit trouvé en possession d’un revolver. Cuisiné sur sa provenance, l’homme a déclaré l’avoir acheté dans la cour du marché de colas, appelé communément « Woro courou », sans plus de précision.
Une perquisition faite à Badalabougou, a permis de mettre la main sur un billet guinéen, des coupures de faux billets de 10.000 Fcfa, et d’une douille d’arme de guerre.
Quant à ses billets, il expliqua les avoir ramassés au Grand marché de Bamako et la douille à celui de Médine. Ces affirmations du suspect étaient trop simplistes pour les limiers qui ont vite fait de diligenter son dossier devant le parquet du Tribunal de la Commune II de Bamako pour vagabondage, détention d’arme et de faux billets.
Tiedié DOUMBIA
L’orpailleur était de bonne foi, lorsqu’il fit appel à son ami pour qu’ils travaillent ensemble. Au moment de lui payer son dû, les choses ont dégénéré.
À l’instar de la communauté internationale, notre pays a célébré, vendredi dernier à la Cité des enfants, la Journée des enfants de la rue. La cérémonie était présidée par la ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, Mme Coulibaly Mariam Maïga, en présenc.
Ils s’étaient organisés pour faire main basse sur les engins roulants de leurs victimes à leurs domiciles. Mais ils ont bénéficié des largesses de la cour.
Le délai d’exécution est de quatre mois. L’entreprise en charge des travaux assure qu’il sera respecté.
Il ne se limitait pas à donner seulement que des cours de math à ses élèves. Le ressortissant togolais abusait sexuellement aussi de ses apprenantes.
Le Centre national de promotion du volontariat au Mali (CNPV) a tenu, jeudi dernier à la Maison des jeunes de Bamako, la 13è session ordinaire de son conseil d’administration. La cérémonie d’ouverture des travaux était présidée par le ministre de la Jeunesse et des Sports, chargé de lâ€.
