Initiée par la CCIM et le Programme Archipelago, en
partenariat avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), la
formation s’est déroulée du 16 au 20 mai. «Cette formation nous a permis de
comprendre comment monter une entreprise et mieux la gérer», a expliqué Tiémogo
Keïta, un jeune migrant de retour au Mali. Pour la mise en pratique de ces
savoirs, celui qui a passé plus de dix ans au Maroc demande l’accompagnement
des autorités maliennes avec les moyens conséquents.
Intervenant lors de la cérémonie de remise, le secrétaire général de la CCIM a demandé aux «jeunes migrants de montrer et démonter qu’il est possible de rester au Mali pour produire et réussir sa propre entreprise plutôt que de tenter des aventures dont les conséquences sont dramatiques». Cheick Oumar Camara a demandé aux participants de tirer profit de ce qu’ils ont appris.
Amadou
GUÉGUÉRÉ
Rédaction Lessor
Le Comité interministériel de gestion des crises et des catastrophes s’est réuni ce mardi 18 novembre à la Primature sous la présidence du Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga..
Le Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga a effectué ce mardi 18 novembre une visite à l’Office malien des produits pétroliers (Omap), placé sous la tutelle du ministère de l’Économie et des Finances..
Le Centre de santé de référence de Koulikoro (CSref) a été doté d’un kit solaire d’une valeur de 10 millions de Fcfa par le directeur de Orange transit, Bréma Dramé dit Bama, ressortissant de la ville..
Plusieurs localités du pays connaissent la crise du carburant. Mais à Sikasso la situation est relativement appréciable. Actuellement, certaines stations-service de la ville sont opérationnelles..
Des files interminables d’automobilistes et de motocyclistes s’étirent sur des dizaines de mètres. Certains y sont, depuis quelque temps, pour pouvoir s’approvisionner en carburant et vaquer à leurs occupations essentielles.
À Bamako, il existe un peu partout des commerçants et revendeurs clandestins de pesticides. Dans la circulation, dans les boutiques des quartiers et dans les marchés hebdomadaires, ils proposent des produits pouvant combattre les nuisibles sans l’autorisation des structures compétentes et en v.