La rencontre était présidée par le conseiller technique au ministère de la Santé et du Développement social, Abdoulaye Guindo, en présence du représentant des Partenaires techniques et financiers (PTF), Rashidi Amboko de l’Unicef.
Il est bon de préciser que la réunion était essentiellement axée sur la présentation du plan stratégique 2021-2025 sur les Sec, l’état d’avancement de sa mise en œuvre, la programmation des activités du deuxième semestre 2022 et la validation de la cartographie des PTF de la santé communautaire.
Le représentant des PTF a expliqué que la réunion représente une réelle avancée par rapport au plan stratégique de la santé communautaire, élaboré et mis en œuvre. Et Rashidi Amboko de dire succinctement que certains mécanismes ont manqué, notamment celui de la coordination et le cadre d’investissement pour permettre de mobiliser assez de ressources financières pour la bonne mise en œuvre de ce plan stratégique jusqu’en 2025.
Le conseiller technique au ministre de la Santé et du Développement social a rappelé que les Soins essentiels dans la communauté ont débuté en 2011 dans 5 régions, notamment Kayes, Koulikoro, Ségou, Sikasso et Mopti avec l’accompagnement des PTF. Pour lui, au-delà de cet appui important, la mise en œuvre des activités des Sec a connu des insuffisances liées à la non fonctionnalité des organes de coordination, à l’absence de mécanisme pérenne de motivation des agents de santé communautaire (ASC). D’autres insuffisances sont relatives aux frais pour les services et les intrants. Toutes choses qui empêchent l’accès et réduisent l’impact du programme, etc...
Il ressort de l’analyse du plan stratégique que des activités prévues dans le cadre logique du plan n’ont été réalisées qu’à 33%, a déclaré Abdoulaye Guindo.
Pour le conseiller technique, il revient à la direction générale de la Santé et de l’Hygiène publique de veiller à l’intégration des interventions de tous les acteurs et à leur harmonisation avec les orientations de la Stratégie nationale des Sec.
Pour sa part, le directeur général adjoint de la santé et de l’hygiène publique, Dr Kalifa Keïta, a indiqué que compte tenu de la vision de la tutelle, c’est-à-dire du département en charge de la Santé, qui est l‘amélioration de l’état de santé de nos compatriotes, il faudrait veiller à la prise en charge effective de tous les cas de maladie.
C’est pourquoi, le système de santé a été mis en place avec différents niveaux de la pyramide.
Au premier niveau où se situent les Centres de santé communautaire (Cscom), beaucoup de pathologies peuvent être prises en charge, avant d’en référer à d’autres niveaux. Selon Dr Kalifa Keïta, cette analyse a conduit à développer une nouvelle stratégie, notamment les Sec. «Ces soins sont prodigués par les agents de santé communautaire qui sont identifiés par les communautés elles-mêmes», a précisé le directeur général adjoint de la santé.
Sinè TRAORE
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