
L’annonce a été faite ce vendredi au CICB, par le président de la Commission de rédaction du projet de Charte pour la paix et la réconciliation nationale, Ousmane Issoufi Maïga. C’était lors de la journée d’information et de sensibilisation des médias sur la couverture de l’atelier de restitution et de la remise au Président de la Transition, du projet de ladite charte, organisé par les membres de la commission communication de rédaction du projet de charte. La cérémonie d’ouverture a enregistré la présence de plusieurs représentants et responsables des associations et organisations professionnelles de la presse.
Ousmane Issoufi Maïga a indiqué que du 20 au 22 juillet prochain, il y aura des échanges sur toutes les dimensions du contenu de la Charte nationale. L’ ancien Premier ministre dira que le mardi 22 juillet, c’est le couronnement et la fin de ce processus qui a été engagé depuis décembre 2024. « La commission remettra au Président de la Transition, le projet de Charte nationale pour la paix et la réconciliation », a-t-il annoncé.
D’après lui : « nous arrivons à une autre étape du processus de rédaction de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale ». Pour ce faire, Ousmane Issoufi Maïga a souhaité réussir ce virage avec les hommes de médias et toutes obédiences confondues, tout en félicitant les dignes représentants au sein de la commission de rédaction pour le travail professionnel dont ils font montre au quotidien. Il souhaite que tous ces efforts conjugués permettent de donner la visibilité et la lisibilité de ces étapes ultimes du processus de rédaction de la Charte.
Dans la même dynamique, le premier responsable de la Maison de la presse a remercié le président de la commission de rédaction de la Charte pour l’intérêt qu’il a accordé à la presse tout au long de ce processus. Bandiougou Danté a indiqué que c’est la première fois qu’une commission est mise en place à un niveau élevé du pays pour que les acteurs qui ont la main à la patte soient mis au cœur du dispositif communicationnel.
D’après lui, le rôle de la presse n’est pas seulement de rendre compte de ce qui se passe, mais d’éviter aussi de tenir des propos « incendiaires pour ajouter du discrédit sur ce que nous sommes en train de faire ». Le président de la Maison de la presse a souhaité que l’information soit traitée de manière beaucoup plus professionnelle, responsable et véritablement fidèle à ce qui s’est réellement passé. Cela, compte tenu de tous les efforts d’information et de communication qui ont été faits.
En outre, il a informé avoir mobilisé « une cinquantaine de journaux, une trentaine de radios et six télévisions privées en plus de l’ORTM » pour la couverture des cérémonies officielles, notamment l’ouverture de l’atelier sous la présidence du Premier ministre et la remise officielle du document avec la présence du Président de la Transition. Bandiougou Danté a clairement dit que tout le monde ne peut être dans la salle de 1000 places.
« Nous ne savons pas le nombre d’accréditations qu’on va nous donner pour permettre aux uns et aux autres de pouvoir couvrir », a-t-il éclairé. Selon lui, les gens peuvent avoir accès au CICB, mais avoir accès à la salle est une autre dimension. « Comprenez que personne n’est écarté. Tout le monde aura accès à des données qui lui permettront de traiter », a-t-il précisé.
Souleymane SIDIBE
Instaurer un climat de confiance et de collaboration durable, c’est le sens qu’il faut donner à cet espace de débats ouvert depuis hier au Centre international de conférences de Bamako sous la présidence du Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga qui n’a pas manqué de .
Le directeur de l'Office central des stupéfiants (OCS), le Colonel-major Fousseyni Keïta, a apporté le mardi 15 juillet dernier à travers un communiqué une clarification importante suite à une erreur de formulation relevée dans certaines déclarations publiques et reprises dans les médias, s.
Le programme d’éclairage public dans le cadre des œuvres sociales du Président de la Transition se poursuit sur plusieurs axes de la ville de Bamako..
Les Maliennes, championnes d’Afrique en 2024 à Johannesburg, ne participent pas à la Coupe du monde féminine de basketball des moins de 19 ans, qui a débuté le samedi 12 juillet dernier. Le pays hôte, la République tchèque, a refusé de leur accorder les visas nécessaires.
Le ministre des Maliens établis à l’Extérieur et de l’Intégration africaine l’a annoncé hier soir dans l’émission Mali Kura Taasira 3 sur la télévision nationale, précisant que le projet est dans le circuit d’adoption par le gouvernement. Mossa Ag Attaher a également souligné qu.
Des refuges terroristes ont été détruits par les FAMa dans les Régions de Kayes et Nara. Il y a eu aussi des combats dans la Région de Kidal au moment où un convoi de l’Armée se dirigeait vers la capitale de la 8è région administrative du pays.