
Le nouveau projet entend consolider les capacités d’autonomisation sociale et professionnelle des jeunes
Ils sont au total 300 jeunes de
Bamako, Mopti, Kita et de Sanankoroba qui bénéficieront de ce projet dont le
coût total est estimé à 650.000 euros (environ 430 millions de Fcfa). Selon le
directeur national de SOS Village d’enfants au Mali, Adama Sanogo, cette
seconde phase s’inscrit dans une démarche visant à renforcer les efforts
d’amélioration de la qualité de la prise en charge des enfants et des jeunes
sans soutien parental. Elle se propose de préparer des jeunes participants aux
programmes de SOS Mali à être des véritables acteurs de développement au sein
de leurs communautés. Et de dire que d’ici mars 2027, le projet renforcera la capacité de ces jeunes en vue
de les autonomiser et de faciliter leur insertion au processus de décision.
Le présent projet vient ainsi
consolider les résultats obtenus de la première phase en matière de capacités
d’autonomisation sociale et professionnelle des jeunes et d’amélioration de la
qualité de la prise en charge fournie par SOS Villages d’enfants au Mali. Il
répondra à un besoin de renforcement des capacités des professionnels dans le
domaine de l’accompagnement des jeunes en termes d’outil de suivi, de soutien
psychosocial et santé mentale, évaluation des problèmes auxquels ceux-ci sont
confrontés dans leurs histoires personnelles.
Il intégrera également la prise
en charge des nouvelles vulnérabilités apparues lors de la première phase grâce
à la mise en place de nouvelles activités qui permettront de répondre plus
efficacement aux besoins exprimés par les jeunes. Ensuite, il recherchera une
meilleure participation des jeunes en situation de handicap. Enfin, cette
nouvelle phase doit permettre de mettre davantage l’accent sur la participation
active des jeunes en tant qu’acteurs du projet afin de renforcer leur estime de
soi et leurs capacités d’intégration sociale et d’autonomisation.
La coordonnatrice de la
Coopération monégasque a confirmé que le projet est porteur d’espoir. Lahan
Cécile Dakouo a précisé qu’il est en droite ligne avec leurs priorités. Elle a
aussi souligné que l’éducation, la promotion et la protection de l’enfant sont
au cœur de leurs activités.
Présidant la cérémonie, le représentant du ministère en charge de l’Entreprenariat national a affirmé que ce lancement prouve à suffisance le bien-fondé de ce projet. Cette seconde phase, a dit Mountaga Bakayoko, est une seconde opportunité pour ces 300 jeunes et va faciliter leur insertion dans la vie professionnelle. Cependant, il a estimé qu’ils doivent redoubler d’effort pour l’atteinte des résultats du projet.
Fatoumata NAPHO
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