Ces
recommandations ont été présentées lors de la cérémonie de clôture des JNC,
vendredi dernier au Centre international de conférences de Bamako (CICB).
L’événement était placé sous la présidence du secrétaire général du ministère
de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de
l’Administration, Alkaïdi Amar Touré, en présence du président de l’Autorité
malienne de régulation des télécommunications/ TIC et postes (AMRTP), Saïdou
Pona Sankaré.
Les
Journées de cybersécurité, qui se sont déroulées du 21 au 25 octobre, ont réuni
près de 2.000 participants. L’événement aura, sans doute, consolidé la volonté
de nos autorités de renforcer la sécurité numérique de notre pays à travers la
coopération, la formation et l’innovation. À travers le thème «Renforcement de
la souveraineté numérique pour un Mali cyber sécurisé», les participants ont
exploré des pistes concrètes pouvant protéger nos systèmes numériques et
accompagner notre transition digitale.
Les
moments forts de cette édition ont été l’atelier technique de trois jours qui a
mobilisé une cinquantaine de participants et six animateurs autour des
questions stratégiques liées à la cybersécurité. L’exposition des innovations
technologiques a été également une activité phare. Cette exposition a permis
aux participants de découvrir les dernières avancées technologiques en matière
de sécurité des systèmes, de logiciels de protection et de solutions de gestion
des risques numériques.
Autre
moment fort : le concours de cybersécurité «Capture the Flag» (CTF) qui a
concerné 30 finalistes. Les participants ont rivalisé d’ingéniosité sur des
épreuves complexes touchant notamment la législation, le forensic, le network
forensic, la sécurité des systèmes. Il y a eu aussi le concours de
développement de contenus locaux et innovation technologique, qui mettait en
avant la création de contenus numériques locaux ainsi que la formation de 100
jeunes.
La cérémonie de clôture a été marquée par la remise de deux chèques géants aux gagnants des deux concours. Abdramane Sakone et Abdoul Wahab Diaby ont reçu respectivement la somme de 2 et 3 millions de Fcfa. Les autres prétendants ont reçu des attestations.
Fadi CISSE
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
Le Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) a tenu, vendredi dernier, la 6è session de son comité de pilotage dans les locaux du ministère de l’Agriculture. L’ouverture des travaux ét.
Le major de la 47è promotion (2023-2025) de l’Ecole militaire interarmes (Emia) de Koulikoro s’appelle Idrissa Tiama de nationalité malienne. Il s’est classé premier avec une moyenne de 16 /20 devant ses camarades de différentes nationalités. Le fils de Diakaria et de Maïmouna Tiama est .
Les 343 officiers d’active de la 47è promotion de l’École militaire interarmes (Emia) de Koulikoro peuvent être fiers du parcours exemplaire de leur parrain au sein de l’Armée malienne. Feu Général de brigade Pangassy Sangaré, puisqu’il s’agit de lui, nait le 11 juin 1947 à Kati. I.
La promotion 2023-2025 compte 343 élèves officiers d’active dont 311 Maliens et 32 étrangers. Le major de la promotion est le Sous-lieutenant Idrissa Tiama du Mali avec une moyenne de 16/20.