![#Mali : Bilan et perspectives de la décentralisation : Le diagnostic du haut conseil des collectivités](http://admin.journalessor.ml/assets/img/posts/1717614450.jpg)
La rencontre prend fin aujourd’hui
Un atelier sur le thème : «La décentralisation au Mali de 1993 à nos jours : bilan et perspectives», se tient depuis hier, à cet effet. La
rencontre qui a regroupé les représentants des différents départements
ministériels, des collectivités territoriales et les experts prend fin
aujourd’hui. La cérémonie d’ouverture était présidée par le président du Haut
conseil des collectivités, Mamadou Satigui Diakité.
C’est en 1992, à l’issue de
la Conférence nationale, que le Mali a opté pour une décentralisation
systématique de l’ensemble de son territoire. Le président de l’Institution a
indiqué que cette vision politique a été considérée comme la réponse la plus
pertinente à la prise en compte des revendications politiques et sociales de
l’époque. Mamadou Satigui Diakité ajoutera que l’organisation des élections
communales de 1999 marque le début de la mise en œuvre effective de ce
processus.
Selon lui, l’atelier invite à un examen approfondi du processus sous la forme d’un bilan en vue d’exposer les acquis, les difficultés rencontrées et les dispositions à prendre. «Pour une meilleure consolidation de la décentralisation», a souligné le président du Haut conseil des collectivités.
Loin
d’être une interpellation ou un procès, cet atelier, a assuré Mamadou Satigui
Diakité, est l’occasion d’identifier les insuffisances et les contraintes. Il
s’agit, a-t-il affirmé, de créer les conditions favorables à la consolidation
de la décentralisation au Mali.
Cette déconcentration du pourvoir a enregistré
d’importants acquis dans la fourniture des services sociaux de base aux
populations, s’est réjoui le président du HCC. Avant de dire qu’elle a été
affectée par de nombreuses crises politiques et sécuritaires. Le président
Diakité a relevé que l’objectif est la réussite de la politique de décentralisation
sous la 4è République.
Durant deux jours, les participants passeront au peigne fin le transfert des compétences et des ressources de l’État aux collectivités territoriales, l’évolution du cadre institutionnel et organisationnel de la réforme, le fonctionnement des collectivités territoriales au quotidien et leurs capacités à fournir des services sociaux de base. Ils plancheront également sur la contribution des Agences de développement régional (ADR) et des contrats plans État/régions, au développement des territoires, la problématique du financement de la décentralisation et les questions liées à l’existence de ressources humaines qualifiées pour la gouvernance régionale et locale. Mais aussi les recommandations des différents fora et assises sur la thématique.
Namory KOUYATE
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