
Ces éléments peuvent contaminer les sols et les eaux souterraines s’ils ne sont pas gérés de façon convenable, expliquent les spécialistes.
La production de poulets de chair nécessite l’utilisation d’énergie
comme les combustibles fossiles qui émettent des gaz à effet de serre tels que
le dioxyde de carbone. Il est donc important de prendre en compte ces aspects
lors de la production de poulets de chair et chercher des méthodes plus
durables et respectueuses de l’environnement pour produire de la viande de manière
à préserver la santé humaine et l’environnement.
Les acteurs du domaine avicole sont exposés à des gaz
nocifs, tels que l’ammoniac. Cette substance peut causer des problèmes
respiratoires et d’autres problèmes de santé. Et même au-delà : être à
l’origine de contamination bactérienne. Les experts estiment que les
manipulations inadéquates et l’entreposage peuvent entraîner la multiplication
de bactéries pathogènes telles que Salmonella et Campylobacter.
Les excréments contiennent des nutriments qui, lorsqu’ils sont déversés dans les cours d’eau, peuvent contribuer à la prolifération d’algues et à la mort de poissons. Les gaz dégagés par les déchets peuvent également polluer l’air. Si ces impacts peuvent varier en fonction des pratiques spécifiques de chaque producteur, il est important de prendre en compte les conséquences potentielles de l’industrie avicole sur la santé et l’environnement lors de l’achat et de la consommation de la viande de poulet.
Makan SISSOKO
Le Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga, qui a présidé la rencontre, a expliqué que chaque année 20 millions de tonnes de riz sont consommées en Afrique de l’Ouest avec une moyenne de 45 à 55 kilogrammes par habitant. Et la demande ne cesse d’augmenter du fait de la .
Le directeur général de l’Agence malienne de presse et de publicité (Amap), Alassane Souleymane et le responsable de la Librairie Bah Sarl du Grand hôtel de Bamako, Mamadou Bah, ont signé mercredi après-midi, une convention de partenariat d’une durée d’un an..
Ce type de pluie est, selon les spécialistes, un signal d’alerte pour les autorités, les services météo et la population.
Le ministre de l’Élevage et de la Pêche, Youba Ba, a poursuivi sa mission de supervision du plan de campagne agricole consolidé et harmonisé 2024-2025. Après les étapes de Bougouni et Dioïla, il a effectué du 25 au 26 avril dernier une visite de terrain dans les Régions de San et de Ségo.
C’est le constat fait par le ministre Youba Ba, qui a séjourné dans la zone la semaine dernière. Cette tournée s’inscrivait dans le cadre du suivi des recommandations de la 14è session du Conseil supérieur de l’agriculture.
Le Programme national du système de riziculture intensif (PN-SRI) dont il est question, vise à porter la production nationale à 5,5 millions de tonnes, contre environ 3 millions actuellement.