La délégation était conduite par le ministre chargé de la Réconciliation, le Général de corps d’armée Ismaël Wagué
La délégation, conduite par le
ministre de la Réconciliation, de la Paix et de la Cohésion nationale, le
Général de corps d’armée Ismaël Wagué, comprenait son collègue chargé de la
Refondation de l’État, Ibrahim Ikassa Maïga et celui chargé des Affaires
religieuses, Mamadou Koné.
Le
président du Haut conseil islamique de Gao, Ousmane Salah, a remercié le
Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, pour avoir dépêché
une forte délégation gouvernementale à Gao pour les condoléances nationales. Il
a prié pour que les autorités de la Transition puissent réussir leurs
missions.
L’Imam
adjoint de la mosquée Koweït, Issa Mohamed, a indiqué que le défunt Cheick
Alpha Oumar Almahadi Maïga a, de son vivant, travaillé à unir toute la
communauté musulmane de la Région de Gao.
Le
Général de corps d’armée Ismaël Wagué a témoigné que le défunt Cheick Alpha
Oumar Almahadi Maïga est un fédérateur, réconciliateur, vertueux et audacieux.
«Il a géré toutes les missions que je lui ai confiées», a-t-il dit. Une
enveloppe symbolique a été remise à la famille du défunt.
Abdrahamane TOURE / AMAP - Gao
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.