La compétition a été organisée par la Ligue de volley-ball du District de Bamako en collaboration avec les Assurances Sabu Nyuman. Pour cette édition inaugurale, une dizaine d'équipes (Messieurs et Dames) ont participé à la compétition, qui s’est déroulée en deux temps, dont la phase de poules et les finales. La première finale a mis aux prises la paire Aladji Yattassaye et Mamadou Tounkara et celle de Mohamed Diallo et Abdoulaya Sacko. Sans surprise, Aladji Yattassaye et son coéquipier Mamadou Tounkara se sont imposés 2 sets à 0. Sur le tableau féminin, la finale à l’avantage de la paire Djénéba Maïga et Oumou Kah qui l’a emporté 2 sets à 0 devant le duo composé de Fatoumata Yirimpa et Fatoumata Wallet.
Le président de la Ligue de volley-ball du District de Bamako a salué le partenariat entre la Ligue de la capitale de volley-ball et les Assurances Sabu Nyuman. Pour Ibrahima Wadidié, cela va donner un nouvel élan au développement de la discipline dans le District de Bamako. Pour sa part, Issa Aya, agent commercial de Sabu Nyuman, n’a pas manqué de féliciter la Ligue pour le bon déroulement de la compétition. Selon lui, grâce au volley-ball, sa structure sera encore plus connue. Car, dit-il, le sport en général et le volley-ball en particulier, est une discipline nécessaire et spectaculaire.
Pour mémoire, le Beach-volleyball est un anglicisme entré dans le langage courant, désignant le volley sur sable ou volley-ball de plage. Le terrain mesure 16 mètres sur 8. Le filet se trouve au milieu de l’aire de jeu à 2,43 mètres du sol (2,24 mètres pour les femmes). Deux équipes s’affrontent en renvoyant, tour à tour, le ballon par-dessus le filet. Chaque équipe est composée de deux joueurs.
Un match se joue le plus souvent en deux sets gagnants. Les deux premières manches se jouent en 21 points alors que la manche décisive se joue en seulement 15 points. Chaque équipe a droit à trois touches de balle. Seule la tentative de service est permise dans un match de beach-volley.
Seibou Sambri KAMISSOKO
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.