
La séance de lecture expliquée de l’avant-projet de la Charte
Cette rencontre a regroupé plusieurs personnalités dont les maires, l’administration, les partis politiques les services techniques, la Coordination des associations et organisations féminines (Cafo), les Forces de défense et de sécurité, la Jeunesse, la société civile dans son ensemble.
Le représentant de l’État, Boubacar Oumar Traoré, et le facilitateur Tièoulé Keïta ont édifié les participants sur plusieurs thèmes relatifs à la stabilité de l’État, entre autres, la paix, la sécurité, la réconciliation nationale, la cohésion sociale et le vivre ensemble.
Plusieurs questions ont été posées et des suggestions faites. Le représentant de l’État n’a pas caché sa satisfaction quant à l’engagement des participants. Il s’est réjoui de la l’appropriation du texte par tous et surtout de la présence des partis politiques qui jouent un rôle pédagogique dans l’information et la sensibilisation des citoyens.
Pour une large information et mise au même niveau, les autorités du pays ont initié ces rencontres à travers tout le pays, en vue d’asseoir une base solide pour la paix et la réconciliation. En effet, le Mali traverse depuis plusieurs années des crises multidimensionnelles profondément marquées par des actions terroristes, des conflits communautaires et des divisions internes. Ces crises mettent à rude épreuve la sécurité, la paix, la réconciliation nationale, la cohésion sociale et le vivre-ensemble. C’est dans ce contexte que le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, a initié le Dialogue inter-Maliens (DIM).
Le DIM a recommandé la rédaction de la Charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale qui pose les bases d’un avenir harmonieux pour le peuple malien. Pour assurer une inclusivité maximale, les forces vives de la nation, les institutions de la République, les anciens Chefs d’État, les anciens Premiers ministres, les universitaires et des personnes ressources ont été consultés à Bamako et dans les régions.
Nouhoum Mamadou KONE / AMAP - Kolondièba
L’Administration malienne accélère sa transformation numérique.
Le samedi 13 septembre 2025, s'est tenue dans les locaux de la préfecture de Bourem, la rencontre de la commission locale chargée des participaratifs de la phase régionale de la Biennale artistique et culturelle Tombouctou 2025. C’était sous la présidence du préfet du Cercle, Kassoum Sanogo.
La coordination régionale de l’Union des journalistes reporters du Mali (UJRM-Sikasso) a procédé, vendredi dernier dans la capitale du Kénédougou, au lancement officiel de ses activités. L’évènement a regroupé un parterre d’hommes de médias de Sikasso et des Cercles de Bougouni, Kadi.
La sous-délégation du Haut commissariat des réfugiés (HCR) à Gao a offert des lots de matériels à la station régionale de l’Office des radios télévisions du Mali (Ortm) de Gao. Les équipements sont constitués de 3 ordinateurs portables, autant d’ordinateurs bureautiques, des tables b.
Pour renforcer le commerce et les investissements entre les états membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), le Centre islamique pour le développement du commerce (CIDC), en partenariat avec le ministère de l’Industrie et du Commerce, organisera du 2 au 4 décembre 2025 dan.
Alors que les attaques terroristes sont de plus en plus orientées vers le Sud du pays et que les réseaux sociaux deviennent un champ de bataille pour la propagande, experts, usagers de la route et citoyens appellent à une riposte coordonnée des autorités. Entre désinformation et résilience, l.