La séance de lecture expliquée de l’avant-projet de la Charte
Cette rencontre a regroupé plusieurs personnalités dont les maires, l’administration, les partis politiques les services techniques, la Coordination des associations et organisations féminines (Cafo), les Forces de défense et de sécurité, la Jeunesse, la société civile dans son ensemble.
Le représentant de l’État, Boubacar Oumar Traoré, et le facilitateur Tièoulé Keïta ont édifié les participants sur plusieurs thèmes relatifs à la stabilité de l’État, entre autres, la paix, la sécurité, la réconciliation nationale, la cohésion sociale et le vivre ensemble.
Plusieurs questions ont été posées et des suggestions faites. Le représentant de l’État n’a pas caché sa satisfaction quant à l’engagement des participants. Il s’est réjoui de la l’appropriation du texte par tous et surtout de la présence des partis politiques qui jouent un rôle pédagogique dans l’information et la sensibilisation des citoyens.
Pour une large information et mise au même niveau, les autorités du pays ont initié ces rencontres à travers tout le pays, en vue d’asseoir une base solide pour la paix et la réconciliation. En effet, le Mali traverse depuis plusieurs années des crises multidimensionnelles profondément marquées par des actions terroristes, des conflits communautaires et des divisions internes. Ces crises mettent à rude épreuve la sécurité, la paix, la réconciliation nationale, la cohésion sociale et le vivre-ensemble. C’est dans ce contexte que le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, a initié le Dialogue inter-Maliens (DIM).
Le DIM a recommandé la rédaction de la Charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale qui pose les bases d’un avenir harmonieux pour le peuple malien. Pour assurer une inclusivité maximale, les forces vives de la nation, les institutions de la République, les anciens Chefs d’État, les anciens Premiers ministres, les universitaires et des personnes ressources ont été consultés à Bamako et dans les régions.
Nouhoum Mamadou KONE / AMAP - Kolondièba
Pour l’exercice 2026, l’Agence malienne de presse et de publicité (Amap) prévoit un budget de plus de 2,510 milliards de Fcfa contre plus de 2,462 milliards de Fcfa en 2025, soit une augmentation de 1,01% pour un montant de près de 50 millions de Fcfa..
Hamadoun Ousmane Bocoum, expert en finance, développement économique et transformation stratégique, vient de publier chez L’Harmattan, son tout premier livre intitulé «Le système financier malien à l’épreuve des crises : une décennie de résistance». En prélude au lancement prévu dem.
L’Association pour le développement et l’appui aux communautés (ADAC), une ONG, a procédé, mardi dernier, au lancement de son projet Renforcer la résilience des populations vulnérables par le lien entre l’aide humanitaire, le développement durable et la consolidation de la paix (RPV-GRN.
Le Centre pour le développement du secteur agroalimentaire (CDA) a tenu, hier au ministère de l’Industrie et du Commerce, la 7è session ordinaire de son conseil d’administration. La réunion a été présidée par le chef de cabinet de ce département, Bréhima Féfé Koné, en présence du d.
Malgré les difficultés rencontrées en 2025, notamment le retrait de certains partenaires et l’insuffisance de financement de la recherche agricole, l’Institut d’économie rurale (IER) a su maintenir son dynamisme, grâce à la résilience et à l’engagement de ses chercheurs..
La 30è session ordinaire du conseil d’administration du Centre national des œuvres universitaires (Cenou) s’est tenue, hier dans sa salle de conférences. La session a été présidée par le secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr.