Le président de la Fondation, Vieux Farka Touré (c) lors de la conférence de presse
Les conférenciers étaient le président de la Fondation, Vieux Farka Touré, le coordinateur général du festival, Levis Togo, et le chef de village de Lafiabougou Elhadji Sinali Traoré. «C’est un format social. Cette année, le festival coïncide avec le mois de Ramadan et nous avons décidé de faire un programme social pour rappeler qu’Ali Farka Touré n’était pas seulement un artiste mais qu’il était aussi un humaniste», a expliqué Vieux Farka Touré.
L’édition de cette année sera un espace de réflexion en vue donner une nouvelle orientation au festival. L’accent sera mis sur le social, notamment le sens du partage de l’homme qui a consacré une bonne partie de ses revenus aux plus démunis. Nous voulons nous inscrire dans cet esprit de partage et de solidarité de l’illustre défunt, a expliqué le conférencier principal. Et Vieux Farka Touré de rappeler que la Fondation a déjà offert des kits scolaires et des couvertures aux enfants de Niafunké.
Il a remercié les autorités politiques et coutumières de la Commune IV et le sous-préfet de Niafunké pour l’accompagnement de la vision de la Fondation. Le coordinateur général du festival a dévoilé le programme adapté au contexte du mois de Ramadan et qui s’articule autour d’une rupture collective de jeûne sur le terrain de Lafiabougou en face de la maison de Farka, une remise de kits alimentaires, composés de céréales et de pâtes alimentaires mais aussi du sucre et d’huile, aux plus démunis de la Commune VI.
Aussi, la Fondation va soutenir 100 personnes pendant le festival avec des enveloppes symboliques et installera aussi des kits solaires au niveau des Centres de santé communautaire (Cscom) de Lafiabougou et un dépôt de fonds pour permettre aux enfants et femmes en situation de détresse de bénéficier des consultations et traitements gratuits pendant ce mois béni.
Dans l’agenda, il est aussi prévu une journée de salubrité, une exposition photographique au Musée national sur l’illustre disparu et l’inauguration du nouveau siège de la Fondation Ali Farka Touré. «C’est l’édition de la structuration de la Fondation», a conclu le coordinateur général du festival.
Pour sa part, le chef de village a lancé un appel à la cohésion autour de cette volonté de partage et d’entraide dans son quartier. Il a bien apprécié l’initiative de la fondation
Amadou SOW
Depuis bientôt un mois, le maître chorégraphe, Karim Togola, assisté de deux professeurs de danse du Conservatoire des arts et métiers multimédia Balla Fasséké Kouyaté, Abdoulaye Koné et Dramane Sidibé, sont à pied d’œuvre pour la construction du ballet de la cérémonie d’ouverture.
Le directeur de cabinet du gouverneur de la Région de Ségou, Boureïma Ongoïba, a présidé, vendredi dernier, la cérémonie de lancement des activités commémoratives de la Journée de la jeunesse africaine, édition 2025..
Le parrain du mois dans le cadre de l’Année de la culture a expliqué clairement lors de la rencontre la nécessité de créer pour être visible dans le monde. Il a aussi invité les créateurs à s’inspirer de notre patrimoine musical, textile ou architectural pour bâtir des produits culture.
Si au départ le «Festival Rendez-vous chez nous» était concentré sur les masques et marionnettes, force est de constater que l’événement s’est beaucoup développé. De nos jours, il est devenu plus éclectique avec une programmation riche et variée, allant de la musique à la danse moder.
Lauréate du concours national de la photographie, elle œuvre depuis plusieurs années pour inoculer le virus de son métier aux femmes.
Dans le cadre de la célébration de l’Année de la culture 2025, la Bibliothèque nationale du Mali a abrité, hier, une conférence du parrain du mois d’octobre, couplée à une cérémonie de remise d’attestations aux familles donatrices de livres. L’ancien ministre chargé de la Culture .