La rencontre s’est tenue dans le cadre de l’amélioration des performances des directoires d’entreprises
La rencontre
s’est tenue dans le cadre de l’amélioration des performances des directoires
d’entreprises. C’était en présence d’entrepreneurs, banquiers et acteurs du numérique. Prenant la parole, le président du Conseil national
du patronat du Mali (CNPM), Mossadeck Bally,
a dit ceci : «en tant que chef d’entreprise, je sais quelle place
occupe la digitalisation dans notre nos entreprises». Une compétition rude
s’annonce lorsque la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) qui
compte 54 marchés sera totalement opérationnel, a-t-il soutenu. Les
entreprises maliennes et l’Administration malienne doivent accélérer leur plan
de digitalisation pour ne pas être uniquement des marchés d’importation et de
consommation.
Par ailleurs, Mossadeck Bally, estime que la
digitalisation des entreprises va de pair avec celle de l’Administration
publique. Elle est cruciale pour avoir une économie résiliente, compétitive et
forte. Pour lui, il faut dématérialiser la quasi-totalité de ces procédures et
surtout la digitalisation permet de réduire considérablement les effets dévastateurs
de la corruption au Mali et sur le continent. «Nous sommes convaincus que la
transformation numérique est une chance pour le Mali.
C’est pourquoi, nous
sommes engagés à exploiter toutes les opportunités», a déclaré Abdoul Kader KY,
directeur national de l’économie numérique. C’est dans ce sens que le département
en charge de la question a mis en place le mécanisme nécessaire par l’adoption
du document de Politique nationale de développement de l’économie numérique en
2015. A l’issue de cette conférence, «je reste
convaincu que nous ressortirons avec une meilleure compréhension des étapes à
entreprendre pour faire du Mali un acteur majeur de l’économie numérique régional
et mondial», a-t-il dit.
Pour le directeur exécutif de l’IMADS, Djibril
Baba Tabouré, «l’institut est le seul à former les questions de gouvernance
d’entreprise, tous les secteurs confondus dans notre pays». En partenariat avec
le cabinet ACADYS, les formateurs seront à votre écoute pour un échange
interactif afin de repenser vos préoccupations en matière de transformation et
de vous proposer en conséquence des séminaires pratiques adaptés à vos besoins,
a-t-il indiqué.
Pour rappel, le Salon international du développement et de l’accélération du numérique (SIDAN) a été lancé. Il regroupera tous les acteurs nationaux et internationaux du numérique pour un plan d’accélération du digital et du numérique dans notre pays. Il se tiendra en novembre à Bamako. IMAD est une émanation de l’association professionnelles des Banques et établissements financiers du Mali et du Réseau de l’entreprise en Afrique de l’Ouest (REAO).
Oumar SANKARE
En marge de leur rencontre, les ministres de l’Économie et des Finances de la Confédération des États du Sahel (AES) venus à Bamako pour les travaux de l'assemblée consultative de la Banque confédérale d'investissement et de développement (Bcid-AES) ont été reçus, hier dans l’après-.
À la date du lundi 8 décembre, au Grand marché de Bamako, le sac de 100 kg de mil est vendu à 20.000 Fcfa contre 22.500 Fcfa avant. Le sac de 100 kg de riz Gamiyaka, cédé auparavant à 45.000 Fcfa, se négocie désormais autour de 40.000 Fcfa.
Le gouverneur de la Région de Kita, Daouda Maïga, a présidé en début de semaine une session de vulgarisation de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption et de son plan d’actions 2023-2027..
Ces derniers mois ont été marqués par un changement de posture des groupes armés terroristes qui ont décidé de s’attaquer aux sources d’approvisionnement du pays en produits pétroliers dans le but d’asphyxier l’économie nationale et de révolter les populations contre les autorités..
C’est un communiqué du ministère de l’économie et des Finances qui l’annonce. Selon le département, à la date d’aujourd’hui, le niveau du stock de la dette intérieure est d’environ 439 milliards Fcfa.
La deuxième partie du projet de Loi de finances pour l’exercice 2026 a été votée, hier, à l’unanimité par les membres du CNT. Le texte a été défendu par le ministre de l’économie et des Finances, Alousséni Sanou.