Les populations invitées à s’acquitter des différentes taxes
Trois points étaient inscrits à l’ordre du jour : le
plan de passation 2023 de la mairie du District, le projet de rénovation de la
gare routière de Sogoniko et les besoins nouveaux en personnels au titre de
l’année en cours.
Dans une interview accordée à
la presse, la 1ère adjointe au maire du District de Bamako a souligné que
l’objectif de cette session était d’échanger avec les conseillers communaux sur
les trois points sus-cités. Selon Camara Fatimata Traoré, le plan de passation
concerne les grands projets que la mairie entend réaliser cette année. À ce
propos, a-t-elle fait savoir, les dossiers doivent passer obligatoirement par
un plan de passation pour être conformes à la règlementation.
S’agissant du 2è axe, relatif
aux sujets de développement, l’édile a rappelé qu’il n’y a pas longtemps,
Bamako, à travers l’Agence de développement régional (ADR), a initié de grands
projets notamment la rénovation de la gare routière et la fourrière. Pour la
mise en œuvre de ce projet, la société Macrole s’est engagée à accompagner la mairie.
Le 3è sujet a trait à la
dotation de la voirie en personnels subalternes. À cet effet, a expliqué Camara
Fatimata Traoré, avec le départ d’Ozone, la ville de Bamako a été confrontée à
d’énormes difficultés pour l’assainissement. C’est dans ce cadre que les
autorités ont décidé d’accompagner la mairie en rénovant, équipant et en dotant
la voirie de matériels nouveaux. Pour l’opérationnalisation de ces équipements
acquis, il faut du personnel.
Par ailleurs, la 1ère adjointe du maire de la capitale a lancé un appel aux populations à s’acquitter des différentes taxes. Ce, afin que la mairie puisse faire face au bon développement et la mise en route des projets initiés et élaborés pour soulager les populations de Bamako.
Mariétou KOITE
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.