
Qui précise que l'attentat a été revendiqué par un groupe militant lié à Al-Qaïda, connu sous le nom de Jama'at Nusrat al-Islam wal Muslimin (JNIM).
Au gouvernement de Transition et au peuple malien, les membres du Conseil de sécurité ont exprimé "leur profonde compassion et leurs condoléances aux familles des victimes et souhaitent un prompt et complet rétablissement aux personnes blessées". Ils en ont profité pour réaffirmer que le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations constitue l'une des menaces les plus graves pour la paix et la sécurité internationales.
À cet egard, les membres du Conseil de sécurité ont souligné la nécessité de traduire en justice les "auteurs, organisateurs, sponsors et commanditaires de ces actes terroristes répréhensibles", tout en exhortant tous les États à agir conformément aux obligations qui leur incombent en vertu du droit international et des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité.
Rappelant que tout acte terroriste est criminel et injustifiable, "quelle que soit sa motivation, quel que soit le lieu, quelle que soit la période et quel que soit son auteur", ils ont réaffirmé la nécessité pour tous les États de combattre par tous les moyens les menaces que les actes terroristes font peser sur la paix et la sécurité internationales. Cela, conformément à la Charte des Nations unies et aux autres obligations découlant du droit international, y compris le droit international des droits de l'homme, le droit international des réfugiés et le droit international humanitaire, conclut le communiqué.
Cheick Moctar TRAORE
Procédant à la clôture des travaux à Séville, le Chef du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, s’est réjoui de l’adoption de «L’Engagement de Séville».
L’annonce a été faite par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, à l’issue de son audience avec son homologue espagnol, José Manuel Albares Buen, hier à Séville en Espagne.
En matière de gouvernance publique, la disponibilité de données, d’analyses et de bonnes pratiques est essentielle pour prendre des décisions à même d’impacter positivement le quotidien des populations..
La problématique a été débattue hier par décideurs, patrons d’institutions de financement et experts… Ils conviennent tous de l’urgence de réformer l’architecture de la dette souveraine et de la suspension du service de dette en cas de crise.
Sans la sécurité et la stabilité, aucun objectif de développement ne pourrait être atteint. C’est pourquoi, les pays de la Confédération des États du Sahel (AES) consacrent le 1/4 de leur budget à cette question. C’est le message que leurs ministres des Affaires étrangères ont fait pa.
L’un des temps forts de cette première journée a été le débat général qui a vu des dizaines de Chefs d’État et de gouvernement se succéder au pupitre pour exposer leur vision du développement et de son financement. L’honneur est revenu au Premier ministre Abdoulaye Maïga de porter l.