Ce,
après l’expiration du mot d’ordre de grève de 96 heures qu’ils ont observé de
mercredi à samedi derniers. Cette seconde phase du débrayage est largement suivie à
travers la capitale. Les stations services portant les marques de ces
multinationales sont alors restées fermées. Pis, les grévistes s’opposent au
maintien du service minimum pour, selon eux, se faire entendre en paralysant
tous les services offerts par ces stations services.
Les grévistes revendiquent l’application de la Convention
collective des entreprises privées régissant les sociétés pétrolières au Mali.
Le secrétaire général du Comité syndical de Vivo Énergies (Shell) a précisé
qu’il ne s’agit pas, pour le moment, d’une grève illimitée.
«Nos directions ne
veulent plus négocier avec nous estimant que nous avons été engagés par les
gérants, elles veulent alors que nous discutions directement avec ceux-ci.
Les
gérants, eux, disent qu’ils ne peuvent pas appliquer nos doléances», a déploré
Souleymane Samaké, rappelant que les syndicats ont signé les conventions
collectives avec les directions des multinationales. En attendant, les clients prennent leur mal en
patience.
Babba COULIBALY
Lors de la rencontre de nombreuses questions liées aux stratégies de développement des entreprises privées en complémentarité avec les investissements publics ont été abordées.
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