
Ce rendez-vous scientifique qui
avait connu un coup d’arrêt, ces deux dernières années, en raison de la pandémie
de la Covid-19, s’est tenu du 30 octobre dernier au 3 novembre à Seattle,
Washington, DC. Nos scientifiques ont eu l’opportunité au cours de cette
rencontre scientifique de présenter les résultats de leurs recherches à travers.
L’équipe du Pr Boubacar Traoré, doyen de la Faculté de pharmacie de l’Université
des sciences, des techniques et des technologies de Bamako (USTTB), à travers
ses résultats présentés par le professeur Kassoum Kayentao, a retenu
l’attention de plusieurs médias américains et à l’étranger, notamment le
Washington Post. Elle a dans une étude a démontré que le médicament expérimental
à base d’anticorps monoclonal, CIS43LS, s’est avéré efficace à 88 % pour prévenir
les infections palustres chez des adultes en bonne santé à Kalifabougou et
Torodo dans la Région de Koulikoro.
Il s’agit de la première étude à montrer
qu’un anticorps monoclonal peut prévenir l’infection par le paludisme dans une
région endémique. Elle permet d’espérer que les anticorps monoclonaux pourront
faire partie des outils de lutte contre le paludisme mis à la disposition du
monde pour combattre cette maladie qui continue de tuer des personnes au Mali
et dans d’autres pays principalement en Afrique.
Le chargé d’affaires de l’ambassade des États-Unis au Mali a déclaré : «Nous sommes très fiers du partenariat entre les National institutes of health, l’USTTB et la Faculté de pharmacie qui font partie du Centre de formation et de recherche sur le paludisme et mènent des études de recherche sur ce fléau. Ils ont le potentiel de sauver des vies non seulement au Mali, mais dans toute l’Afrique et dans le monde entier». Le diplomate américain a salué les résultats des travaux du Pr Kassoum Kayentao, récemment publiés dans le New England journal of medicine.
Synthèse
Oumar SANKARE
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