Les chefs d’État-major généraux des armées invitent les populations à toujours faire confiance aux trois Chefs d’État et aux forces de l’AES
Présents à Ouagadougou, dans le cadre de la continuité des engagements communs des trois États d’éradiquer le terrorisme, ils ont fait le point des conclusions de leur rencontre au Capitaine Ibrahim Traoré. «Nous ressortons très satisfaits et ragaillardis par les orientations et les directives qui ont été données par le Président du Faso.
à chaque fois, quand on vient voir le politique, ça nous donne aussi beaucoup d’ardeur dans la mise en œuvre de la force unifiée de l’AES, objet de notre rencontre à Ouagadougou», se réjouit le Général de division Oumar Diarra, chef d’état-major général des Armées (Cemga) de la République du Mali, président du Comité des chefs d’état-major de l’AES.
Selon le Général Diarra, la délégation a également rendu compte au Chef de l’État de l’examen du protocole additionnel de la force de l’AES et des deux opérations Yéréko 1 et 2 menées dans la zone des trois frontières ainsi que des perspectives d’autres opérations. Les chefs d’État-major généraux des armées de l’AES invitent les populations de la Confédération à toujours faire confiance aux trois Chefs d’État et aux forces de l’AES. «Nous sommes décidés et déterminés. Nous rassurons que la force de l’AES est en train de monter en puissance.
Les terroristes changent de mode d’action quotidiennement. Nous nous adaptons aussi à ce mode d’action. Je puis vous dire que la victoire est au profit des forces de l’AES», rassure le CEMGA du Mali. En marge de la rencontre de Ouagadougou des chefs d’État-major généraux de l’AES, les chefs d’État-major de l’armée de l’air de la Confédération sont réunis à Bamako au Mali pour mutualiser les moyens à mesure de défendre l’espace AES.
Source : Direction de la Communication de la Présidence du Faso
Rédaction Lessor
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
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