À sa sortie
d’audience, l’hôte du jour a confié que son Centre est ravi d’avoir entendu une affirmation totale
et sans condition à la mise en œuvre de l’Accord. Cela, a-t-il expliqué,
permettra de soutenir un avenir en paix pour le peuple malien.
«Nous partons avec
la forte impression de l’engagement ferme de ce gouvernement à mettre en œuvre
l’Accord que nous croyons être un élément important de la réussite de la
Transition.
Nous partons également encouragés par l’affirmation de cet
engagement», s’est réjoui le petit fils de l’ancien président américain Jimmy
Carter. Et d’ajouter que son organisation attend avec beaucoup d’espoir les
prochaines actions de notre gouvernement pour démontrer au monde, aux Maliens
et aux parties prenantes que l’Accord pour la paix porte ses fruits.
En outre, Jason
Carter s’est dit très conscient de la situation et du contexte actuels du
Mali. C’est pourquoi, a-t-il justifié, son Centre veut donner l’appui qu’il
peut. «Nous attendons avec beaucoup d’impatience des actions concrètes pour réaliser
les actions de paix», a espéré le président du conseil d’administration du
Centre Carter.
Présent au Mali depuis trois décennies, le Centre Carter lutte contre le ver de Guinée. Depuis quatre ans, il est l’observateur indépendant de la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger.
Mohamed DIAWARA
Tous les analystes et observateurs avertis s’accordent sur l’importance de l’information dans nos différents pays. Et aujourd’hui, il est admis par tous que l’information représente un maillon essentiel de la souveraineté d’un État.
D’une valeur estimée à plus de 165,3 millions Fcfa, ces dons contribueront au traitement efficace de diverses pathologies.
Les chefs de quartier et les services de police sont les premiers contacts des parents dans les situations d’égarement des enfants. Il ne vient à l’esprit de personne (en tout cas très peu de gens le font) de requérir l’appui des services locaux de promotion de la femme, de l’enfant et d.
La vérité des chiffres est implacable. Le paludisme représente au Mali la première cause de morbidité, soit 37,7%. Les établissements de santé dans notre pays ont recensé en 2023, un peu plus de 3,3 millions de cas de paludisme pour 1.191 décès.
Le Mali enregistre des avancées en termes d’élimination du paludisme à l’horizon 2030. La découverte des premiers vaccins (RTSS et R21) contre cette maladie endémique vient renforcer ces acquis. Notre pays est en train de tout mettre en œuvre pour que ces antigènes soient disponibles et .
Les jeunes diplômés espèrent aujourd’hui, en tout cas pour la plupart, être recrutés à la Fonction publique de l’état au détriment de l’entrepreunariat jeune. Cet état de fait résulte du taux d’échec dans ce domaine, expliquent certains. Ceux-ci invitent aussi les autorités Ã.