Ce montant est destiné à appuyer notre
pays pour améliorer l’accessibilité et l’utilisation de services essentiels de
santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile, adolescente et
nutritionnelle de qualité. Ce financement
permettra également de renforcer la préparation aux urgences sanitaires
dans des zones ciblées. L’information a été annoncée le 28 juin dernier à travers un communiqué de
presse de la Banque mondiale.
Ce fonds va financer le
projet Promouvoir la résilience du système de santé inclusif pour tous au Mali,
Keneya Yiriwali (en bamanankan). En utilisant l’approche du Financement basé
sur les résultats (FBR), le projet financera les intrants nécessaires et les
paiements basés sur la performance, dans les régions et les écoles ciblées, en
fonction des ressources disponibles, pour améliorer la performance de la
prestation de services et la disponibilité de ceux-ci. L’institution de Bretton Woods a indiqué que le projet Keneya
Yiriwali bénéficiera principalement aux femmes, adolescentes et enfants
englobant une population totale de 15,4 millions d’habitants, dont 3 millions
d’enfants de moins de 5 ans et 3,4 millions de femmes âgées de 15 à 49 ans.
Il
couvrira des régions initialement prises en charge par le Projet accélérer les
progrès vers la couverture sanitaire universelle (Pacsu) à savoir : Gao,
Mopti, Douentza, Bandiagara, San, Ségou, Koulikoro, Dïoila et Nara, à de
nouvelles régions telles que Tombouctou, Bougouni, Koutiala et Sikasso, dont
les taux de pauvreté sont les plus élevés. Y compris la Commune VI du District
de Bamako.
Le document a précisé que
le montant global de cette opération IDA est 125 millions de dollars, environ
62,5 millards de Fcfa, financé conjointement par IDA (100 millions de dollars)
et une subvention de la Facilité de financement mondiale (GFF), notamment 25
millions de dollars, dont 15 millions de dollars du gouvernement des Pays-Bas
par le biais d’un financement conjoint avec la GFF.
Selon l’institution
financière, ce partenariat a été à l’origine de la mise en œuvre effective de
l’approche FBR de 2020 à 2024 à travers le Pacsu au Mali. La directrice des
opérations de la Banque mondiale pour le Mali a expliqué que l’expansion du FBR
avec la prise en compte des risques climatiques tant énergétiques que de
gestion des risques d’urgences est le moteur d’amélioration de l’offre de soins
de service qualitatifs aux populations pour le Projet Keneya Yiriwali. Clara de
Sousa a aussi affirmé que ce projet est bâti sur les résultats du Pacsu qui a
considérablement amélioré l’utilisation des soins de santé, les scores de
qualité, la disponibilité des médicaments et la satisfaction des patients dans
neuf régions administratives.
Synthèse de
Mohamed DIAWARA
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