
L’ordre du
jour de cette rencontre portait, entre autres, sur le compte rendu de la 68ème session de la
Commission de la condition de la femme des Nations unies tenue à New York en mars 2024, le compte rendu de la
déclaration des ministres de la Confédération
des États du Sahel (AES) en charge de la Promotion de la Femme, de
l’Enfant, de la Famille et du Genre tenue à Bamako, le 31 juillet dernier. La réunion a également
échangé sur le plan d’action et de mise en œuvre des recommandations du
Dialogue inter-Maliens relatives à la promotion de la femme et à la restitution
de la Journée panafricaine de la femme.
Il ressort
de la présentation de N’douré Kadiatou Sanogo, conseillère au ministère en
charge de la Promotion de la Femme, que les travaux de la session de la
Commission de la condition de la femme avaient pour thème : «Accélérer la
réalisation de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de toutes les femmes
et filles en luttant contre la pauvreté et en renforçant les institutions et le
financement dans une perspective de genre».
La délégation malienne qui était
conduite par la ministre Mariam Maïga, a lu une déclaration et présenté son
rapport sur les progrès, les défis et perspectives de protection sociale, de
l’accès aux services publics et infrastructures durables pour l’égalité des
sexes et l’autonomisation des femmes et des filles. Elle a également organisé
des panels sur les différentes préoccupations des femmes.
Jermi
Coulibaly, conseiller lui aussi au ministère de la Promotion de la Femme, de
l’Enfant et de la Famille, a expliqué que les ministres chargées de la
Promotion de la Femme de l’AES sont résolus à contribuer à la refondation de
nos états. L’objectif recherché est l’émergence d’un type nouveau de citoyen et
pour la promotion d’une gouvernance vertueuse au service des intérêts exclusifs
de nos populations. De son coté, le conseiller Youssouf Bagayoko a précisé que
pendant le Dialogue inter-Maliens, les femmes sont restées actives et ont
contribué à la formulation de pertinentes recommandations sur le genre et dans
les différentes activités pour la paix, la cohésion sociale et de la stabilité
du Mali.
Certaines participantes ont fait des observations, recommandations et
propositions. La ministre Mariam Maïga a expliqué que cette rencontre se tient
dans le cadre de l’esprit de redevabilité, de transparence, de reconnaissance
et de raffermissement de liens de collaboration avec les OSC féminines. «La
rencontre a concerné d’autres questions et d’autres préoccupations d’actualité
comme les inondations, l’assainissement de la ville de Bamako et d’autres
localités du pays», a évoqué la ministre chargée de la Promotion de la Femme,
ajoutant que les questions du genre et de la famille sont assez
importantes. Car, a-t-elle souligné,
c’est dans la famille que tout se joue, tout commence et tout prend fin.
Sinè TRAORE
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