Notre confrère Sidi Y. Wagué, membre du bureau, reçoit son attestation des mains de sa présidente, Mme Zéinab Evelyne Jacques
Initiée en collaboration avec
une agence de communication de la place, la session de formation était assurée
par Mohamed Chérif Haïdara, journaliste-formateur. Par définition,
l’art oratoire est l’art de convaincre, d’émouvoir par la parole. À l’origine,
en Grèce, l’art oratoire s’occupait essentiellement du discours politique,
avant de s’étendre à d’autres disciplines comme la littérature et l’art
dramatique.
La formation s’inscrivait alors dans le cadre de la mise à niveau
des membres du bureau exécutif de la Cofor-Mali en prise de parole en public
lors des cérémonies officielles. Les
techniques de prise de parole en public, le langage verbal, non verbal, la
maîtrise et la gestion du temps étaient, entre autres modules dispensés lors de
cet atelier de formation. Joignant la théorie à la pratique, les participants
ont débattu et fait des simulations sur «les médias et la promotion de la
médiocrité, l’impact des réseaux sociaux sur la société, le rôle de l’éducation
dans la réussite, l’éducation traditionnelle contre l’éducation moderne, les
limites de la liberté d’expression, la démocratie, la dictature ou la
nonchalance».
Pour ce faire, chaque participant a pris la parole devant
l’assistance. Les participants ont été repartis aussi en deux groupes qui ont
stimulé un débat contradictoire sur les médias et la promotion de la
médiocrité. La
formation a consisté à développer les capacités intellectuelles des jeunes de
la Cofor-Mali en les aidant à s’exprimer mieux en public, à extérioriser leur
pensée dans le but de s’affirmer. «En tant que futur leader, nous devons être
recyclés et formés sur la prise de parole en public pour bien nous exprimer et
affronter d’autres difficultés en public», a soutenu la chargée à
l’organisation, Mariam Kéïta.
Pour la présidente de la Cofor-Mali, Mme Zéïnab
évelyne Jacques, cette formation a permis à plusieurs membres de son
association de savoir comment prendre la parole en public. Les
participants ont confirmé que la session a été une école pour eux. À l’issue de
la session de formation, chaque participant a reçu une attestation de
participation des mains de la présidente de la Cofor-Mali.
Sidi WAGUE
Les enseignants des écoles publiques du District de Bamako reprennent le travail dès ce lundi 20 octobre 2025 aux heures habituelles des cours..
En marge de la 3è édition des journées Ouest-africaines de l'audit interne, tenues à Bamako les 16 et 17 octobre, le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta a reçu, ce vendredi 17 octobre, une délégation de l’Association des contrôleurs, inspecteurs et auditeurs .
Certains rapports occidentaux tentent désespérément de faire croire que le Mali serait une « république en ruine », une «transition sans cap», un pays «sous tutelle russe» condamné à l’isolement. Ce récit, souvent répété, ignore la logique interne d’un processus souverain qui.
Lancé depuis le mois de septembre, par la Direction nationale de la pédagogie (DNP) avec l’appui technique et financier du Projet d’amélioration de la qualité et des résultats de l’éducation pour tous au Mali (Miqra), l’atelier d’élaboration et de validation des livrets pédagogique.
Dans le cadre des activités de la 30è édition du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, le gouverneur de la Région de Mopti, le Général de brigade Daouda Dembélé a respecté la tradition en rendant visite, mercredi 15 octobre, aux deux personnes les plus âgées de la Co.
Suite à la recrudescence de l’insécurité dans la Région de Gao, des mesures strictes ont été prises concernant les activités illicites sur le site minier de N’tahaka, situé à une cinquantaine de kilomètres de la Commune urbaine de Gao..
