C’était en présence de la représentante de la
mairie de la Commune IV du District de Bamako, Assétou Sangaré, de la présidente
de l’ACCM, Néné Diallo Dia, et de la représentante de la Fondation Friedrich
Ebert Stiftung (FES), Ivenja Bode.
Au cours de la rencontre,
trois communications ont été faites, notamment sur les «défis et opportunités
de développement que la marche vers la souveraineté offre ou impose au Mali.
Point de vue économique et géostratégique», «comment assurer la marche vers la
souveraineté économique et financière au Mali, compte tenu des défis
structurels de développement ? Point de vue des acteurs économique»
et «les obstacles mais aussi les opportunités offertes à la population et à la
jeunesse dans le contexte actuel».
Les panelistes étaient Dr
Kalilou Sidibé, professeur de droit, Dr Aly Tounkara, sociologue, l’ancienne
ministre Mme Assétou Founé Samaké et Sidi Dagnioko du Conseil national du
patronat du Mali (CNPM). De leurs explications, il ressort que la souveraineté
est l’attribut de l’État qui lui permet d’exercer ses compétences sur son
territoire et à l’international.
Cependant, ont-ils fait savoir que la véritable
souveraineté est la maîtrise de son destin. Toute chose qui passe par le développement
du pays et la prise de conscience. Les panelistes ont également demandé de
mettre l’accent sur l’éducation et la formation des ressources humaines de
qualité pour pouvoir être compétitifs sur la scène internationale. Ils ont
invité les autorités à rendre notre pays attractif en termes d’investissement.
Créée en 2023, l’ACCM s’engage à contribuer à l’émergence d’un
nouveau type de citoyen malien afin de participer à la co-construction du Mali
nouveau. En la matière, a indiqué la présidente de l’Association, Néné Diallo
Dia, leur approche de travail est de contribuer de façon structurée à la réflexion,
au débat et à l’engagement citoyen dans notre pays pour traduire en actions les
slogans de «Mali Kura» et «Maliden Kura».
La représentante de la Fondation Friedrich Ebert Stiftung s’est, quant à elle, demandée comment les États peuvent mettre en place des coopérations bonnes et nécessaires sans tomber dans la dépendance économique et politique déséquilibrée.
Bembablin DOUMBIA
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