Dans son communiqué, le département en charge de l'Éducation nationale a présenté ses condoléances les plus attristées à la famille du défunt, ses amis et à toute la communauté éducative. Le ministère de l'Éducation nationale a aussi rappelé le parcours professionnel de l'illustre disparu non moins professeur principal de l’Enseignement secondaire.
Feu Kinane Ag Gadeda a gravi les échelons de l'administration éducative du directeur de Centre d’animation pédagogique en passant par l’Académie d'enseignement et de la direction nationale de l’enseignement fondamental.
Ce fin connaisseur du milieu de l'école malienne a relevé de nombreux défis au poste de secrétaire général du ministère. Parmi lesquels, la grève des syndicats signataires de l'éducation qui a paralysé l'école pendant plusieurs mois.
Homme de conviction et de grande valeur, il a marqué de son empreinte le système éducatif malien par son leadership, sa rigueur et son dévouement. Les obsèques de l'officier de l'ordre national se tiendront ce vendredi à partir de 16 heures chez lui-même à Niamakoro.
Mohamed DIAWARA
Les préoccupations des acteurs sont liées à une insuffisance de sensibilisation, la faible adhésion à la prévention de la transmission mère-enfant (PTME), la persistante de la stigmatisation des personnes infectées par le virus de la pandémie.
La Croix-Rouge malienne (CRM) a décidé d’insuffler une dynamique dans sa collaboration avec les hommes de médias pour une meilleure information de la population sur sa mission et ses principes. C’est dans cet esprit que l’organisation humanitaire a initié, du 21 au 23 novembre dernier dans.
Les acteurs de l'école connaissent désormais le calendrier de l’année scolaire 2024-2025..
«Le Centre de santé de référence (Csref) de Kati s’est considérablement développé grâce au Projet accélérer les progrès vers la couverture sanitaire (Pacsu)»..
La prise en charge de cette pathologie chronique est financièrement compliquée pour les patients. Certains, après avoir dépensé tout leur argent dans le traitement, finissent par cumuler les impayés d’hospitalisation.
Dans les périphéries de la capitale, les parents d’élèves font le choix de quitter tôt pour éviter les embouteillages. Mais surtout pour que les élèves arrivent à l’heure.