
Photo de famille des participants avec le cardinal Jean Zerbo
Cette rencontre de 4 jours
avait pour thème : «La vie de l’enseignement catholique dans les pays
membres de l’association des responsables nationaux de l’enseignement
catholique en Afrique de l’Ouest francophone». La cérémonie était présidée par
le président de l’Arnecao, Père Didier Affolabi, en présence du président de la
commission de l’enseignement catholique, l’évêque de Ségou, Monseigneur
Augustin Traoré et des membres venus de la sous-région.
Les
directeurs et secrétaires nationaux des 8 pays francophones de l’Afrique de
l’Ouest, membres de l’Association, ont exprimé leur satisfaction à la direction
nationale de l’enseignement catholique du Mali pour la réussite de la
rencontre. Selon Père Pierre Chanel
Affognon, l’organisation n’a ménagé aucun effort pour assurer un accueil
chaleureux aux participants.
Au cours de la rencontre, chaque pays membre a présenté
son expérience de l’enseignement catholique. Certains pays membres, notamment
le Burkina-Faso, le Mali, Togo, le Bénin et le Niger font face à des violences
liées au terrorisme. Cette situation affecte les écoles. Mais il a encouragé
l‘enseignement catholique de ces pays à persévérer dans leur mission éducative. Le
directeur national de l’enseignement catholique du Togo a aussi fait savoir
qu’ils ont adopté le rapport financier annuel de leur organisation et pris des
décisions pour le bien de leur association.
Père
Didier Affolabi dira que pendant ces quatre jours de grâce, les membres ont
fait d’intenses réflexions en ce temps de carême. Pour lui, il est clair qu’à
travers les échanges et les temps de partage, ils ont eu de multiples raisons
de rendre grâce au Seigneur qui est à l’œuvre dans leurs écoles. Mais qui fait
surtout en sorte que les efforts portent fruit. Et de dire que les enseignants
s’efforcent de donner le meilleur d’eux-mêmes, aidés par les diverses
formations et les différents conseils qui leur sont donnés. Les parents
apportent aussi leurs contributions, malgré des situations économiques parfois
précaires.
Quant
aux États membres, ils apportent également leurs soutiens à l’éducation, mais
on attend encore plus d’eux. Il a énuméré comme difficultés la récession économique
qui a réduit les possibilités financières des parents qui n’arrivent pas toujours
à honorer à bonne date le paiement des frais de formation de leurs enfants,
mais ne disposent plus aussi de temps suffisant pour assurer le suivi des
enfants à la maison. Il y a aussi le problème de la multiplicité des maîtres à
penser où des lieux d’éducation qui se pose avec acuité, laissant la jeunesse
dans une difficulté de choix après l’école. Il y a la rue, les mauvais amis,
mais surtout les réseaux sociaux.
À cela s’ajoutent, l’instabilité politique et l’insécurité due à la menace terroriste dans certaines localités de la sous-région. Enfin, inexistence de la subvention de l’État dans certains pays apparaît comme une situation d’inégalité et de discrimination, car les enfants inscrits dans les écoles privées sont aussi des citoyens.
Aminata SOUMAH
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