Dans un
contexte mondial où les relations internationales sont de plus en plus
cruciales pour relever des défis globaux, les parlementaires maliens ont donc
décidé de renforcer leurs efforts diplomatiques. C’est ainsi qu’au cours de la
séance plénière du jeudi sous la présidence de la 2è vice-présidente, Djikiné
Hatouma Gakou, les membres du CNT ont procédé à la création de plusieurs
réseaux parlementaires et groupes d’amitié, de fraternité et de
coopération.
Les
réseaux parlementaires créés sont les suivants : le Réseau des
parlementaires maliens pour la défense et la protection des personnes vivant
avec un handicap, le Réseau des parlementaires maliens pour le suivi des
processus électoraux, le Réseau des parlementaires maliens pour la lutte contre
le VIH/Sida, le Réseau des parlementaires maliens pour la lutte contre le
terrorisme et l’extrémisme violent au Sahel. En plus des réseaux parlementaires,
il y a le groupe d’amitié Mali-États-Unis d’Amérique, le groupe d’Amitié
Mali-Mauritanie, le groupe d’Amitié Mali-Burkina Faso, le groupe d’Amitié
Mali-Russie et le groupe d’Amitié Mali-Turquie.
Les
législateurs ont un rôle essentiel dans la diplomatie, couramment appelée
diplomatie parlementaire. À travers la création de groupes d’amitié et de
réseaux parlementaires, ils peuvent renforcer les liens avec leurs homologues
des autres pays et promouvoir des échanges culturels, économiques et
politiques. Les groupes d’amitié, de fraternité et de coopération sont des
entités formées pour entretenir et développer des relations avec les parlements
des autres pays. Leur but est de favoriser des échanges et mieux comprendre les
pratiques législatives de chaque pays. Ces groupes sont composés de
parlementaires partageant un intérêt commun pour un pays spécifique et jouent
un rôle de relais entre les gouvernements, les institutions et la société
civile des pays partenaires.
En plus
des groupes bilatéraux d’amitié, les membres du CNT ont créé des réseaux
thématiques multilatéraux autour de questions globales comme la santé, la
gouvernance, le climat, la sécurité ou les droits humains. Ces réseaux
facilitent les collaborations transnationales, permettant aux parlementaires de
mettre en commun des solutions et de s’informer sur les innovations
législatives dans ces domaines.
Ces
initiatives visent à renforcer les relations diplomatiques et à accroître la
coopération entre pays sur des sujets d’intérêt commun. Les membres de l’organe
législatif impliqués dans ces groupes ou réseaux peuvent jouer un rôle crucial
dans la médiation de conflits ou la négociation d’accords. Aussi, ces groupes
et réseaux offrent des espaces pour des discussions informelles qui peuvent
souvent faciliter des progrès diplomatiques formels.
La création des groupes d’amitié et de réseaux parlementaires représente un outil puissant pour le développement des relations internationales. En multipliant ces collaborations, les membres du CNT peuvent aborder ensemble des défis communs, tout en renforçant la diplomatie et la compréhension mutuelle. La plénière a pris acte de la création des différents réseaux et groupes d’amitié par acclamation. Après leur création, la 2è vice-présidente du CNT a insisté sur la mise en place rapide des bureaux respectifs et l’élaboration des plans d’actions pour leur opérationnalisation.
Dieudonné DIAMA
Cette marque de respect et d’estime du Chef de l’État ghanéen atteste de la volonté de ce pays de raffermir davantage ses relations bilatérales avec le Mali, et au-delà avec la Confédération des États du Sahel. Le Ghana entend les aider à pouvoir régler les questions d’insécurité.
Le Général de division Abdoulaye Maïga a demandé au président du Conseil national de Transition de considérer cette lettre de cadrage comme conjointe à la fois au gouvernement et à l’organe législatif.
Après l’adoption de la première partie portant sur les conditions générales de l’équilibre budgétaire et financier, les membres du Conseil national de Transition (CNT) ont donné hier leur quitus à la deuxième partie qui concerne les moyens des politiques publiques. La séance plénière.
Les prévisions de dépenses budgétaires s’élèvent à 3.229,886 milliards de Fcfa. Tandis que celles de recettes s’établissent à 2.648,900 milliards de Fcfa.
La 28è édition de l’Espace d’interpellation démocratique (EID) s’est tenue mardi au CICB. Sur les 554 dossiers d’interpellation reçus par le secrétariat permanent du Médiateur de la République, ce sont 27 qui ont fait l’objet de débats tout au long de la journée. À cette occasion.
La 28è édition de l’Espace d’interpellation démocratique (EID) s’est tenue mardi au CICB. Sur les 554 dossiers d’interpellation reçus par le secrétariat permanent du Médiateur de la République, ce sont 27 qui ont fait l’objet de débats tout au long de la journée. À cette occasion.