La nutritionniste
Suma Alexia Dakono explique que c’est une source de vitamines et de minéraux,
car il est riche en vitamines A et C, ainsi qu’en calcium, potassium et
magnésium. Elle argumente que la vitamine A est essentielle pour la santé des
yeux et la vitamine C pour le renforcement du système immunitaire.
La spécialiste en nutrition précise que ce fruit sauvage contient des antioxydants qui aident à réduire le risque de maladies chroniques et à soutenir un vieillissement en bonne santé. Ses propriétés anti-inflammatoires, aide à réduire l’inflammation et à soulager les douleurs articulaires.
Suma Alexia
Dakono indique que le zaban peut aider à soulager la constipation et améliorer
la digestion grâce à sa teneur en fibres. Elle poursuit que cet aliment est une
excellente source en énergie naturelle.
Pour
maximiser ces bienfaits, la nutritionniste recommande de consommer le zaban
frais ou de l’utiliser pour préparer des infusions. La spécialiste explique que
ces infusions sont non seulement rafraîchissantes mais aussi bénéfiques pour la
santé digestive et immunitaire. Elle renchérit que ce fruit sauvage peut être
utilisé dans des recettes de cuisine, notamment la salade, les plats de viande
ou les desserts pour ajouter une saveur unique et des nutriments supplémentaires.
La nutritionniste révèle que l’huile extraite des graines de zaban peut être utilisée en cuisine ou appliquée sur la peau pour ses propriétés hydratantes et anti-inflammatoires. Dans certaines cultures locales, cite-t-elle, le zaban est souvent utilisé pour ses usages médicinaux traditionnels, notamment dans le traitement des infections cutanées et des inflammations.
Mohamed DIAWARA
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.