
Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU
À cette occasion, le secrétaire
général des Nations unies (Onu) a, dans un message, déclaré qu’une presse libre
est indispensable à la vie des démocraties. «Elle dévoile les méfaits, aide à
comprendre la complexité du monde et contribue à la réalisation des Objectifs
de développement durable. Pourtant, plus de 70 journalistes ont été tués cette
année, uniquement pour s’être acquittés de ce rôle dans la société. Ces crimes
sont rarement élucidés», a condamné Antonio Guterres. Parallèlement, le nombre
de journalistes emprisonnés a atteint un niveau record et les menaces
d’incarcération, de violence et de mort se font chaque jour un peu plus
pressantes», a renchéri le secrétaire général de l’Onu.
Pour
Antonio Guterres, l’explosion de la désinformation, du harcèlement en ligne et
des discours de haine, en particulier envers les femmes journalistes, entrave
le travail des médias partout dans le monde. «L’intimidation par l’argent ou le
droit complique la tâche de celles et ceux qui cherchent à faire rendre compte
aux puissants», a-t-il poursuivi, ajoutant que cette évolution représente une
menace non seulement pour les journalistes, mais aussi pour la société en
général.
Le Plan d’action des Nations unies sur la sécurité des journalistes, selon le secrétaire général des Nations unies, a pour but de permettre aux professionnels des médias de faire leur métier librement et en toute sécurité. À l’occasion du dixième anniversaire du Plan, Antonio Guterres a invité les États et la communauté internationale à prendre les mesures nécessaires pour protéger les journalistes. «Nous devons mettre fin à cette culture de l’impunité présente partout et laisser les journalistes faire le travail essentiel qui est le leur», a-t-il conclu.
Madiba KEÏTA
Dans un communiqué rendu publié hier, le président de la Maison de la presse du Mali, Bandiougou Danté, informe l’opinion nationale et internationale que dans la journée du 4 mai dernier, le siège de sa structure sis à Médina coura en Commune II du District de Bamako a été envahi par des.
Par décret N°2025-0268 du 25 avril 2025, le président de la Transition a institué une opération dénommée «Dougoukoloko» visant à rétablir l’État du Mali dans ses fonctions régaliennes sur toute l’étendue du territoire national, en s’appuyant sur l’action des Forces armées et .
Ce financement est destiné à faire face à la situation d’urgence : chocs climatiques, insécurité alimentaire, déplacements liés aux conflits armés.
La relecture de la Charte des partis politiques ravise aujourd’hui les débats politiques dans notre pays. Le Mali compte actuellement près de 300 partis politiques et lors des Assises nationales de la refondation (ANR) tenues en décembre 2022, la réduction de leur nombre fait partie des recom.
Faut-il dissoudre les partis politiques ? C’est par cette question que Me Cheick Oumar Konaré, avocat au barreau malien et ancien journaliste, verse son analyse sur le débat concernant la réduction du nombre des partis politiques dans le cadre de la relecture de la Charte des partis politiques .
Le Président de la Transition et Président de la Confédération des États du Sahel (AES), le Général d’armée Assimi Goïta, a, dans un communiqué rendu public hier, annoncé que le Collège des Chefs d’État de la Confédération AES regrette la destruction d’un drone des Formes armé.