
Bandiougou Danté, président de la Maison de la Presse
«L’iruption de ces individus a créé un désordre à la Maison de la presse. Des journalistes ont été agressés physiquement et verbalement. La Maison de la presse condamne avec la plus grande fermeté cet acte d’agression barbare qui n’a pas sa place dans une société de droit», inique le communiqué, ajoutant que la Maison de la presse doit rester un sanctuaire de débats sereins, de respect mutuel et d’échanges pacifiques et non un lieu d’intimidation ou de violence.
«Cet acte inacceptable, perpétré dans un espace censé incarner la liberté d’expression et le dialogue, constitue une atteinte grave à la démocratie, à la liberté de la presse et au respect des droits fondamentaux», a fait remarquer le président Bandiougou Danté, avant d’inviter les autorités à prendre leur responsabilité face à de tels actes qui ne favorisent pas la cohésion sociale et exprime sa solidarité envers les victimes.
«En ces temps où les tensions peuvent être exacerbées, il est plus que jamais essentiel de promouvoir le respect, le dialogue et la non-violence», relève le communiqué. Ce n’est pas la première fois que la maison des journalistes est envahie par des agitateurs et perturbateurs lors de conférences de presse organisées par des groupements politiques. On espère que des mesures seront prises pour que les confrères et les consœurs ne soient plus pris pour cible dans leur «propre maison» par des pagailleurs.
Madiba KEÏTA
Par décret N°2025-0268 du 25 avril 2025, le président de la Transition a institué une opération dénommée «Dougoukoloko» visant à rétablir l’État du Mali dans ses fonctions régaliennes sur toute l’étendue du territoire national, en s’appuyant sur l’action des Forces armées et .
Ce financement est destiné à faire face à la situation d’urgence : chocs climatiques, insécurité alimentaire, déplacements liés aux conflits armés.
La relecture de la Charte des partis politiques ravise aujourd’hui les débats politiques dans notre pays. Le Mali compte actuellement près de 300 partis politiques et lors des Assises nationales de la refondation (ANR) tenues en décembre 2022, la réduction de leur nombre fait partie des recom.
Faut-il dissoudre les partis politiques ? C’est par cette question que Me Cheick Oumar Konaré, avocat au barreau malien et ancien journaliste, verse son analyse sur le débat concernant la réduction du nombre des partis politiques dans le cadre de la relecture de la Charte des partis politiques .
Le Président de la Transition et Président de la Confédération des États du Sahel (AES), le Général d’armée Assimi Goïta, a, dans un communiqué rendu public hier, annoncé que le Collège des Chefs d’État de la Confédération AES regrette la destruction d’un drone des Formes armé.
En réaction, le gouvernement a convoqué l’ambassadeur algérien pour protester contre l’hostilité du régime algérien.