Fadima Coulibaly a ancré en elle la détestation de
l’échec. Il n‘y a pas le moindre hasard dans tout ce qu’elle met en place pour
réussir surtout une exposition. Tout est revu au détail près. La directrice de
la Pyramide du souvenir n’a pas la prétention d’être au niveau d’emblématiques
figures féminines maliennes et africaines comme les Aoua Keïta, Sira Diop,
Miriam Makeba et autres, mais elle s’en approche.
Sa détermination et son abnégation au travail en font un exemple d’inspiration. Après sept années à la tête de la direction régionale de la culture à Bamako, Fadima Coulibaly a posé ses valises à la direction de la Pyramide du souvenir en 2018. Dans cette structure mémorielle, elle continue de séduire par son esprit d’initiatives et la pertinence de ses idées. Elle entend travailler sur les grandes actions pour conscientiser la jeunesse, mais aussi inciter les décideurs à revoir leur position sur la gestion des grands événements socio-culturels, économiques et politiques. Femme de rigueur et de courage, elle ne baisse jamais les bras. «Lorsque je décide de faire une activité, nul ne peut me décourager et si c’est le premier responsable qui doit débloquer ma situation, je n’hésite pas à le voir pour que mon projet avance», déclare-t-elle, visiblement très satisfaite de rendre hommage à l’Armée; surtout à une période où les militaires mènent une lutte implacable contre le terrorisme. «Le Soldat» est une exposition à voir.
Amadou SOW
Si au départ le «Festival Rendez-vous chez nous» était concentré sur les masques et marionnettes, force est de constater que l’événement s’est beaucoup développé. De nos jours, il est devenu plus éclectique avec une programmation riche et variée, allant de la musique à la danse moder.
Lauréate du concours national de la photographie, elle œuvre depuis plusieurs années pour inoculer le virus de son métier aux femmes.
Dans le cadre de la célébration de l’Année de la culture 2025, la Bibliothèque nationale du Mali a abrité, hier, une conférence du parrain du mois d’octobre, couplée à une cérémonie de remise d’attestations aux familles donatrices de livres. L’ancien ministre chargé de la Culture .
En marge de la 9è édition du Festival international «Triangle de Balafon», le Consortium ACF–Fonds Maaya et le Réseau Kya, ont organisé, samedi dernier dans la salle de réunion de la Chambre de commerce et d’industrie de Sikasso, une table ronde sur la problématique de financement du se.
Cette année, le crépissage de la mosquée de Djingarey ber coïncide avec le 700è anniversaire de son érection par l’empereur Kankou Moussa de retour du pèlerinage à la Mecque au XIVè siècle. Il coïncide aussi d’avec l’Année de la culture décrétée par le Président de la Transitio.
L’événement a été marqué par une conférence qui a débattu de la thématique : «Place et rôle du Maaya et du Danbé dans la formation et l’éducation du Maliden kura».