
Face à cette situation, les jeunes de Diéma ont pris le devant. Ils sont sortis massivement pour barrer le passage aux eaux de pluie dans leur course effrénée vers l'intérieur de la ville.
Hommes, femmes et enfants remplissaient des sacs avec du sable pour les placer aux devantures des maisons afin de les empêcher d'être submergées par les eaux.
Des personnes de bonne volonté ont apporté leurs soutiens pour la réussite de ce travail collectif visant à mettre la ville à l'abri d'éventuelle inondation.
Le maire de la Commune rurale de Diéma, Abdoulaye SIssako et son équipe ont mobilisé des camions-benz pour assurer le transport du sable afin de former des digues susceptibles de stopper l'avancée des eaux.
Le président du conseil communal de la Jeunesse, Kaka Diombana, et les membres de son bureau, se disent toujours prêt à apporter leurs soutiens, en fonction des moyens disponibles, partout où le besoin se fait sentir, pour le bien-être des populations.
Le préfet Hamadou Yacouba Diallo a salué cette action salvatrice des jeunes qui sont intervenus à temps face à cette menace d'inondation. Toutes choses, qui, selon le chef de l'exécutif local, prouvent à suffisance l'esprit de patriotisme qui les anime. Des jeunes qu'il a qualifié de bons patriotes.
Ouka BA/Amap-Dièma
Nakounté Sissoko apporte son soutien à l’AS Kaarta de Diéma, qualifiée pour la phase fédérale de la Coupe du Mali de football. Le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma a offert au club un important lot de matériels sportifs, composé de 25 crampons et un jeu de maillots..
Une charretée de foin est vendue à 3000 Fcfa, contre 15.000 Fcfa pour la charge d’un tricycle. Cette situation s’explique par les conditions d’exploitation et de transport de cette denrée destinée aux animaux.
C’est une tradition dans cette ville. Elle a lieu après la saison des pluies, impliquant hommes, femmes, jeunes et vieux.
Les prix des denrées de première nécessité, notamment le riz, le mil, le sucre, l’huile et le lait, sont stables dans le Cercle de Diéma, a constaté, vendredi dernier, le préfet Hamadou Yacouba Diallo, lors d’une visite de contrôle des boutiques et magasins..
La miction involontaire ou l’énurésie, selon le terme médical consacré, des enfants est aujourd’hui ressentie comme une préoccupation sociale à Diéma.
«Mieux vaut tard que jamais», forts de cet adage, les membres du bureau du Parlement des enfants du Cercle de Diéma ont célébré avec faste, le mercredi 14 août, la Journée internationale de l’enfant africain, commémorée traditionnellement le 16 juin de chaque année, à travers le monde.