
Ces annonces ont été faites, mercredi dernier à la Bourse du Travail, par les organisateurs de ladite manifestation lors d’une conférence de presse, à l’allure d’un meeting.
C’était en présence du président du Pôle politique du consensus, Jeamille Bittar, des membres du Conseil national de Transition, du président de la Convention pour le Mali, Dr Allaye Bocoum et celui du mouvement Yèrèwolo debout sur les remparts, Adama Diarra dit ‘’Ben le Cerveau’’.
Tour à tour, les représentants des organisations initiatrices de la grande manifestation de ce vendredi ont pris la parole pour dénoncer les sanctions de la Cedeao et de l’Uemoa contre notre pays, qu’ils ont jugées «illégales » et « illégitimes ». Pour eux, «le chronogramme de 5 ans qui a été proposé par le gouvernement à la Cedeao» est conforme aux résolutions des Assises nationales de la refondation. Lesquelles ont donné un délai allant de 6 mois à 5 ans pour la prorogation de la durée de la Transition.
D’après les conférenciers, l’organisation sous régionale, «manipulée par la France», s’en est prise à notre pays, seulement, en raison de sa volonté de diversifier ses partenariats dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, notamment avec la Russie. Selon eux, ces sanctions, qui ont été prises à l’encontre du Mali, auront également des impacts pour certains pays membres de la Cedeao. « Ces mesures nous ont, d’ailleurs, permis de se mobiliser », ont-ils apprécié, invitant tous les Maliens à se donner la main pour sortir notre pays de cette situation.
Bembablin DOUMBIA
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Présente dès les premières heures du Mouvement démocratique, la jeunesse malienne, forte de son énergie, de ses rêves et aspirations, doit contribuer à la redéfinition de la trajectoire démocratique.
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