
Le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Porte-parole du gouvernement le colonel Abdoulaye Maïga, a présidé, hier dans les locaux de son département, l’ouverture d’une rencontre avec les acteurs intervenant dans la communication gouvernementale. C’était en présence des représentants du Centre d’information gouvernementale du Mali (Cigma) et des chargés de communication des départements ministériels.
Cette rencontre visait à redynamiser la communication gouvernementale, jugée moins «performante» par les plus hautes autorités du pays. Pour rappel, conformément au décret n°2021-0972/PT-RM du 31 décembre 2021, fixant les attributions spécifiques du ministre porte-parole du gouvernement, celui-ci est chargé de la communication gouvernementale. Il a pour mission de faire connaitre à l’opinion publique les décisions et actions majeures du gouvernement ainsi que les positions de celui-ci concernant les évènements ou questions d’actualité d’intérêt national ou international.
À ce titre, en concertation avec les autres membres du gouvernement, le ministre porte-parole du gouvernement a la responsabilité d’élaborer et de veiller à la mise en œuvre, au suivi et à l’évaluation de la stratégie de communication gouvernementale et d’assurer sa coordination. Il s’agit également d’apporter, les explications officielles sur les décisions, les choix et les grandes initiatives du gouvernement, de préparer les éléments de langage de la communication gouvernementale et de mener toute autre action en lien avec ses attributions de porte-parole du gouvernement.
«Pour l’exercice de ses attributions, le ministre porte-parole du gouvernement met en place un cadre d’échanges régulier avec les chargés de communication et/ou les structures chargées de communication des départements ministériels. Il dispose, pour emploi, de la Cellule de communication de la Primature et du Cigma», précise le document. C’est dans ce cadre que la rencontre d’hier, premier du genre, s’est tenue.
Revenant sur l’esprit dudit décret, le ministre porte-parole du gouvernement a indiqué que les interactions entre lui et les acteurs intervenant dans la communication gouvernementale permettront de rendre celle-ci plus «performante».
Le colonel Abdoulaye Maïga a demandé à ses interlocuteurs de lui faire une proposition d’un plan «opérationnel» afin que la communication gouvernementale aille dans ce sens. Cela est d’autant plus important que «le gouvernement fait beaucoup d’efforts et d’activités qui ne sont pas connus par nos populations», a-t-il déploré.
Le ministre a également sollicité d’eux beaucoup plus d’engagement et d’ouverture ainsi que d’esprit de partage et de dialogue avec les autres entités. Rappelant que «nous traversons une période de crise suite aux sanctions illégales et illégitimes que la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a prises à l’encontre de notre pays», le porte-parole Abdoulaye Maïga a attiré l’attention sur l’importance de renforcer la communication gouvernementale et de la rendre plus performante.
Bembablin DOUMBIA
La traque des groupes terroristes continue sur l’ensemble du territoire national. C’est l’assurance qu’a donné la Direction de l'information et des Relations publiques des Armées ( Dirpa) sur ses plateformes digitales à travers un communiqué datée du mercredi 02 avril 2025.
Les partis politiques sont de plus en plus rejetés par les citoyens qui leur reprochent pas mal de griefs comme la promotion de l’injustice, la culture de la corruption, la démagogie, la gabegie….
Présente dès les premières heures du Mouvement démocratique, la jeunesse malienne, forte de son énergie, de ses rêves et aspirations, doit contribuer à la redéfinition de la trajectoire démocratique.
Jusque-là, 1.844 Maliens ont été arrêtés et expulsés en violation des règles et conventions internationales.
À l’occasion de la commémoration du 34è anniversaire du 26 mars, L’Essor a approché le président du Congrès national d’initiative démocratique-Faso Yiriwa Ton (Cnid-FYT). Me Mountaga Tall, un des acteurs majeurs du mouvement démocratique, fait le bilan de la démocratie et revient sur .
Le document concerne 10 services centraux, trois pôles judiciaires et 16 juridictions sur toute l’étendue du territoire.