
Les renforts terrestres, selon la même source, sont arrivés
dans la zone de même que la surveillance aérienne. Le ratissage se poursuit également
dans le secteur. Auparavant, dans la nuit du dimanche au lundi dernier, le
poste de gendarmerie de Sébékoro dans la Région de Kita, avait été attaqué par
des assaillants. On déplore la mort d’un gendarme en l’occurrence
l’adjudant-chef Hamidou Cissé. Trois autres agents ont été blessés dont l’un
grièvement. Ce dernier aurait été évacué à Kati pour recevoir les soins
appropriés.
Dans la même nuit, une attaque similaire s’est produite au
poste de sécurité de Didiéni dans le Cercle de Kolokani. À ce jour, on ne connaît
pas le bilan de cette énième attaque dans cette localité. Ces derniers temps, la présence accrue des groupes armés
terroristes a été signalée dans les secteurs de Kita, Kolokani et même aux
alentours de Kati avec des craintes d’attaques contre les Forces de défense et
de sécurité, ainsi que les populations civiles.
Mais, il en faut plus pour démoraliser et désorganiser les FAMa qui sont engagées à sécuriser les personnes et leurs biens sur l’ensemble du territoire national. Une détermination soutenue par les autorités de la Transition qui ont fait de l’équipement et de la formation des Forces de défense et de sécurité la priorité des priorités. D’où l’acquisition ces derniers temps de plusieurs hélicoptères de combat, de véhicules blindés, de radars et tout récemment de drones de combat.
Madiba KEÏTA
Depuis son investiture comme président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta n’a cessé d’édicter des mesures en vue de dynamiser les secteurs productifs stratégiques pour assurer la sécurité et l’indépendance économiques du Mali..
Dans un communiqué rendu publié hier, le président de la Maison de la presse du Mali, Bandiougou Danté, informe l’opinion nationale et internationale que dans la journée du 4 mai dernier, le siège de sa structure sis à Médina coura en Commune II du District de Bamako a été envahi par des.
Par décret N°2025-0268 du 25 avril 2025, le président de la Transition a institué une opération dénommée «Dougoukoloko» visant à rétablir l’État du Mali dans ses fonctions régaliennes sur toute l’étendue du territoire national, en s’appuyant sur l’action des Forces armées et .
Ce financement est destiné à faire face à la situation d’urgence : chocs climatiques, insécurité alimentaire, déplacements liés aux conflits armés.
La relecture de la Charte des partis politiques ravise aujourd’hui les débats politiques dans notre pays. Le Mali compte actuellement près de 300 partis politiques et lors des Assises nationales de la refondation (ANR) tenues en décembre 2022, la réduction de leur nombre fait partie des recom.
Faut-il dissoudre les partis politiques ? C’est par cette question que Me Cheick Oumar Konaré, avocat au barreau malien et ancien journaliste, verse son analyse sur le débat concernant la réduction du nombre des partis politiques dans le cadre de la relecture de la Charte des partis politiques .