
Cette commission est composée de 69 membres et dirigée par
un coordonnateur, en la personne de Pr Fousseyni Samaké. Elle comprend un
rapporteur, Boubacar Sow et un rapporteur adjoint, Amadou Sy Savané.
Parmi
les membres désignés il y a des ministres, des représentants de certaines
Institutions de la République, des légitimités traditionnelles, des autorités
administratives indépendantes, des partis et regroupements politiques, des
organisations de la société civile.
Les représentants des centrales syndicales,
des groupes signataires de l’Accord pour la paix et la réconciliation, des
Forces de défense et de sécurité, des ordres professionnels, des jeunes et des
femmes siègent aussi au sein de la Commission.
L’on y retient les noms de certaines personnalités comme l’ancien Premier ministre Ahmed Mohamed Ag Hamani, les anciens ministres Gaoussou Drabo, Aminata Dramane Traoré, Zeyni Moulaye
Bembablin DOUMBIA
Cette décision des juges tient compte des faits, de leur gravité et en considération de la personne de l’inculpé, selon l’universitaire.
La révélation a été faite par le chef de la délégation ivoirienne, Abdoulaye Kouyaté, lors de l’ouverture des travaux des experts en prélude à la tenue de la 4è session de la grande commission mixte de coopération.
Le représentant du chef du gouvernement, Robert Diarra, a remis, lundi dernier à N’tabacoro, une plate-forme multifonctionnelle à l’Association «Siguida Douma d’Att Bougou»..
La question est au cœur d’un séminaire international organisé par l’École de maintien de la paix Alioune Blondin Bèye. L’objectif étant d’approfondir les réflexions sur les mécanismes du dialogue interculturel et interreligieux afin d’actionner les leviers pouvant être mis à cont.
Dans cette interview, l’enseignant chercheur à l’Université des sciences juridiques et politiques de Bamako aborde la question de la laïcité dans le projet de Constitution. Il revient également sur les innovations et les insuffisances contenues dans le texte.
Ce projet couvre dans notre pays les Régions de Bandiagara, Douentza, Gao, Ménaka et Tombouctou pour un financement estimé à 4,5 milliards de Fcfa.