
L’objectif est de créer un réseau de jeunes venant de l’ensemble du territoire national
La cérémonie d’ouverture était présidée par le directeur exécutif de la Fondation Tuwindi, Tidiani Togola, en présence des représentants des partenaires techniques et financiers. L’objectif de cette formation est de créer un réseau de jeunes venant de l’ensemble du territoire national et formés sur les indicateurs et le monitorage à travers la plateforme Xensa. La finalité recherchée est d’amener ces jeunes à servir d’appui aux agents des organisations de la société civile pour renforcer la transparence et la réussite du processus de Transition à travers une veille citoyenne, inclusive et efficiente.
Le directeur exécutif de la Fondation Tuwindi a tout d’abord expliqué que la technologie Xensa est une plateforme qui permet de suivre la Transition et notamment le Plan d’action du gouvernement (Pag). Selon Tidiani Togola, les12 jeunes qui vont bénéficier de la formation viennent de toutes les régions du Mali et vont acquérir des formations supplémentaires et faire le suivi de la Transition. Ils appuieront aussi les autres organisations de la société civile qui font le contrôle citoyen de l’action publique, notamment sur le volet spécifique de la Transition.
Pour lui, l’avantage principal de cet atelier est de renforcer les compétences des jeunes sur le contrôle citoyen de l’action publique. Il leur permettra également d’avoir une parfaite maitrise ou une meilleure compréhension des indicateurs de suivi du Pag. Ainsi, à partir de ce suivi, ces jeunes formés vont pouvoir accompagner les autres organisations de la société civile dans leur mission de contrôle citoyen de l’action publique. Cela va aussi être mutuellement bénéfique pour le gouvernement et pour d’autres acteurs tels que les partenaires de l’État, a ajouté le directeur exécutif de la Fondation Tuwindi.
Tidiani Togola a aussi estimé que la gouvernance ne peut être de qualité que si elle est co-construite et cette co-construction passe à la fois par les acteurs de la société civile et ceux étatiques. D’après lui, ces jeunes vont acquérir des compétences qui leur permettront de pouvoir faire cette co-construction à partir d’un suivi via Xensa. «Je les invite à accompagner les autres acteurs de la société civile, leurs camarades, et à participer activement pour qu’on puisse observer un changement positif», a indiqué Tidiani Togola.
Durant deux jours, 12 jeunes de 15 à 35 ans, dont 40% de femmes, issus de la société civile et du Réseau democracy tech squad ont bénéficié d’une formation sur des modules liés au Plan d’action du gouvernement de la Transition. Mais aussi sur les orientations par rapport aux indicateurs ainsi que la bonne gouvernance.
Souleymane SIDIBE
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